Une trêve historique annoncée par Oman
Après des années de conflit meurtrier, un accord de cessez-le-feu a été conclu entre les Houthis et les États-Unis, a annoncé Oman mardi. Mais la tension reste vive : les rebelles menacent Israël d’une riposte "foudroyante".
C’est une annonce qui pourrait changer la donne dans le conflit yéménite. Mardi, Oman, médiateur de longue date, a confirmé un accord de cessez-le-feu entre les États-Unis et les Houthis. Cette déclaration intervient quelques heures seulement après que Donald Trump a affirmé que les Houthis avaient "capitulé". En contrepartie, Washington a promis de suspendre ses frappes aériennes au Yémen.
Cependant, l’annonce est loin d’apaiser toutes les tensions. Les Houthis, tout en acceptant le cessez-le-feu avec les États-Unis, ont averti qu’ils préparaient une "riposte foudroyante" contre Israël, qu’ils accusent de soutenir les opérations américaines dans la région. Une déclaration qui maintient la région sous haute tension.
Le conflit au Yémen, qui dure depuis 2014, oppose les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, à une coalition menée par l’Arabie saoudite et soutenue par les États-Unis. Ce conflit a causé l’une des pires crises humanitaires au monde, avec des millions de personnes déplacées et au bord de la famine.
Cet accord marque une avancée significative, les Houthis ayant longtemps rejeté toute négociation directe avec Washington. Selon des experts, Oman a joué un rôle clé en facilitant les discussions, tout en maintenant un équilibre entre les différents acteurs régionaux.
Mais pourquoi les Houthis menacent-ils Israël ? Selon les analystes, cette déclaration vise à renforcer leur position et à montrer qu’ils restent un acteur clé dans l’échiquier géopolitique du Moyen-Orient. Israël, bien que peu impliqué directement dans le conflit, est souvent accusé par les groupes alliés à l’Iran de soutenir leurs ennemis.
L’annonce de ce cessez-le-feu a été accueillie avec prudence. Les Nations unies ont salué une "avancée positive" et appelé à des efforts supplémentaires pour trouver une solution durable au conflit. Du côté des États-Unis, Donald Trump s’est félicité de cet accord, le qualifiant de "victoire diplomatique majeure".
Cependant, sur les réseaux sociaux, les avis sont partagés. Si certains saluent cette étape comme une opportunité pour soulager les souffrances des civils yéménites, d’autres critiquent l’absence de garanties solides pour un arrêt total des hostilités. En Israël, les menaces des Houthis ont provoqué une vive inquiétude, les autorités appelant à une vigilance accrue.
Cet accord de cessez-le-feu est un premier pas vers une possible désescalade au Yémen, mais les défis restent nombreux. Les menaces des Houthis contre Israël pourraient-elles relancer une nouvelle vague de tensions dans la région ? La communauté internationale doit désormais surveiller de près les prochains développements pour éviter que cette fragile trêve ne s’effondre.
C’est une annonce qui pourrait changer la donne dans le conflit yéménite. Mardi, Oman, médiateur de longue date, a confirmé un accord de cessez-le-feu entre les États-Unis et les Houthis. Cette déclaration intervient quelques heures seulement après que Donald Trump a affirmé que les Houthis avaient "capitulé". En contrepartie, Washington a promis de suspendre ses frappes aériennes au Yémen.
Cependant, l’annonce est loin d’apaiser toutes les tensions. Les Houthis, tout en acceptant le cessez-le-feu avec les États-Unis, ont averti qu’ils préparaient une "riposte foudroyante" contre Israël, qu’ils accusent de soutenir les opérations américaines dans la région. Une déclaration qui maintient la région sous haute tension.
Le conflit au Yémen, qui dure depuis 2014, oppose les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, à une coalition menée par l’Arabie saoudite et soutenue par les États-Unis. Ce conflit a causé l’une des pires crises humanitaires au monde, avec des millions de personnes déplacées et au bord de la famine.
Cet accord marque une avancée significative, les Houthis ayant longtemps rejeté toute négociation directe avec Washington. Selon des experts, Oman a joué un rôle clé en facilitant les discussions, tout en maintenant un équilibre entre les différents acteurs régionaux.
Mais pourquoi les Houthis menacent-ils Israël ? Selon les analystes, cette déclaration vise à renforcer leur position et à montrer qu’ils restent un acteur clé dans l’échiquier géopolitique du Moyen-Orient. Israël, bien que peu impliqué directement dans le conflit, est souvent accusé par les groupes alliés à l’Iran de soutenir leurs ennemis.
L’annonce de ce cessez-le-feu a été accueillie avec prudence. Les Nations unies ont salué une "avancée positive" et appelé à des efforts supplémentaires pour trouver une solution durable au conflit. Du côté des États-Unis, Donald Trump s’est félicité de cet accord, le qualifiant de "victoire diplomatique majeure".
Cependant, sur les réseaux sociaux, les avis sont partagés. Si certains saluent cette étape comme une opportunité pour soulager les souffrances des civils yéménites, d’autres critiquent l’absence de garanties solides pour un arrêt total des hostilités. En Israël, les menaces des Houthis ont provoqué une vive inquiétude, les autorités appelant à une vigilance accrue.
Cet accord de cessez-le-feu est un premier pas vers une possible désescalade au Yémen, mais les défis restent nombreux. Les menaces des Houthis contre Israël pourraient-elles relancer une nouvelle vague de tensions dans la région ? La communauté internationale doit désormais surveiller de près les prochains développements pour éviter que cette fragile trêve ne s’effondre.












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