Khénifra a brillé de mille feux : la 6ᵉ édition du Festival international Ajdir Izourane s’est achevée après plusieurs jours de célébration haute en couleurs. Organisé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, l’événement a coïncidé avec des dates symboliques fortes : la Fête du Trône, la Révolution du Roi et du Peuple et la Fête de la Jeunesse.
Un hommage à un discours historique et une culture vivante
Bien plus qu’une simple kermesse culturelle, Ajdir Izourane puise ses racines dans le célèbre discours royal d’octobre 2001 à Ajdir, qui avait consacré la reconnaissance de la langue et de la culture amazighes comme patrimoine commun de tous les Marocains. Cette édition a donc joué sur deux tableaux : festive et symbolique, entre traditions et modernité.
Des rythmes du Moyen Atlas aux débats citoyens
Durant la cérémonie d’ouverture, la province de Khénifra a accueilli artistes, élus et personnalités civiles et militaires, dans une ambiance chaleureuse. Le public a vibré au son des musiques amazighes, avec des créations régionales et internationales, preuve que la culture amazighe parle toutes les langues du monde.
Mais Ajdir Izourane ne s’est pas limité à la scène. Des colloques thématiques ont animé le festival autour de sujets aussi essentiels que le développement territorial, la gouvernance et la justice sociale, avec un fil conducteur : comment conjuguer mémoire et avenir dans une perspective de développement durable.
Comme le résume Mohamed Yassine, président de la Fondation Esprit Ajdir Atlas : « Khénifra n’est pas seulement un décor naturel magnifique, c’est un espace vivant où l’amazighité s’affirme dans la langue, l’art et la pensée. »
Un rendez-vous qui gagne en aura chaque année
Pour le président du Conseil provincial, Hamid El Babour, Ajdir Izourane est devenu un rendez-vous incontournable, où patrimoine et aspirations contemporaines se rencontrent. Sur les réseaux sociaux, les images du festival ont circulé en masse, entre vidéos TikTok de danses traditionnelles et threads X sur la richesse des débats.
Cette 6ᵉ édition désormais achevée, Ajdir Izourane laisse derrière elle des souvenirs marquants et une dynamique culturelle renouvelée. Khénifra confirme son rôle de pôle incontournable de la culture amazighe, où l’identité s’exprime à travers la musique, la réflexion et la fête. Si cette édition a pris fin, elle ouvre déjà la voie à de nouvelles ambitions pour les années à venir, avec l’espoir d’attirer encore plus de talents et de visiteurs. Ajdir Izourane ne se termine pas vraiment : il prépare déjà son prochain chapitre.
Un hommage à un discours historique et une culture vivante
Bien plus qu’une simple kermesse culturelle, Ajdir Izourane puise ses racines dans le célèbre discours royal d’octobre 2001 à Ajdir, qui avait consacré la reconnaissance de la langue et de la culture amazighes comme patrimoine commun de tous les Marocains. Cette édition a donc joué sur deux tableaux : festive et symbolique, entre traditions et modernité.
Des rythmes du Moyen Atlas aux débats citoyens
Durant la cérémonie d’ouverture, la province de Khénifra a accueilli artistes, élus et personnalités civiles et militaires, dans une ambiance chaleureuse. Le public a vibré au son des musiques amazighes, avec des créations régionales et internationales, preuve que la culture amazighe parle toutes les langues du monde.
Mais Ajdir Izourane ne s’est pas limité à la scène. Des colloques thématiques ont animé le festival autour de sujets aussi essentiels que le développement territorial, la gouvernance et la justice sociale, avec un fil conducteur : comment conjuguer mémoire et avenir dans une perspective de développement durable.
Comme le résume Mohamed Yassine, président de la Fondation Esprit Ajdir Atlas : « Khénifra n’est pas seulement un décor naturel magnifique, c’est un espace vivant où l’amazighité s’affirme dans la langue, l’art et la pensée. »
Un rendez-vous qui gagne en aura chaque année
Pour le président du Conseil provincial, Hamid El Babour, Ajdir Izourane est devenu un rendez-vous incontournable, où patrimoine et aspirations contemporaines se rencontrent. Sur les réseaux sociaux, les images du festival ont circulé en masse, entre vidéos TikTok de danses traditionnelles et threads X sur la richesse des débats.
Cette 6ᵉ édition désormais achevée, Ajdir Izourane laisse derrière elle des souvenirs marquants et une dynamique culturelle renouvelée. Khénifra confirme son rôle de pôle incontournable de la culture amazighe, où l’identité s’exprime à travers la musique, la réflexion et la fête. Si cette édition a pris fin, elle ouvre déjà la voie à de nouvelles ambitions pour les années à venir, avec l’espoir d’attirer encore plus de talents et de visiteurs. Ajdir Izourane ne se termine pas vraiment : il prépare déjà son prochain chapitre.












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