Invité sur les ondes de RAC1, Guardiola a souligné l’importance de cette rencontre qu’il considère comme un geste fort :
« Ce n’est pas un simple match. Grâce à cet événement, les Palestiniens sentiront qu’ils ne sont pas seuls », a-t-il affirmé.
Il a également critiqué l’absence de réponse internationale face à la crise humanitaire :
« La communauté internationale a laissé tomber la Palestine. Nous avons assisté sans réagir à la destruction d’un peuple. Le pire, c’est que le mal est fait et qu’il ne pourra pas être réparé. »
L’entraîneur de Manchester City n’a pas épargné les dirigeants mondiaux, les accusant d’immobilisme et de calcul politique :
« Je ne vois personne capable de justifier ce qui se passe à Gaza. N’importe lequel de nos enfants pourrait être victime de cette violence. Je n’ai aucune confiance en ceux qui prétendent diriger le monde : ils sont prêts à tout pour préserver leur pouvoir. »
Pour Guardiola, ce match amical revêt au moins une dimension symbolique, utile pour sensibiliser et rappeler un soutien :
« Les symboles ne suffisent pas, mais ils comptent. Si le temps d’un soir, les Palestiniens se sentent soutenus, alors cette rencontre aura servi à quelque chose. »












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