Par Dr Anwar CHERKAOUI avec le concours du Dr BOUMEHDI Bounhir, médecin radiologue
Ils s’aiment depuis deux ans.
Ils s’imaginent déjà pousser un landau au parc, entendre un premier « papa » ou « maman » résonner dans leur salon.
Mais les mois passent, et le berceau reste vide.
Leurs relations sont régulières, harmonieuses, et rien, en surface, ne semble expliquer ce silence biologique.
Pourtant, la médecine sait que parfois, la réponse se cache dans des images.
Des images qui, plus qu’un simple cliché, peuvent raconter l’histoire intime de la fertilité.
Chez madame, l’échographie pelvienne est souvent la première rencontre avec ce monde invisible.
Elle scrute les ovaires, mesure leur réserve, évalue l’endomètre, cette couche délicate qui accueille l’embryon.
Vient ensuite l’hystérosalpingographie, un examen radiologique avec injection d’un produit de contraste.
C’est un moment clé : l’écran révèle si les trompes, ces fins tunnels entre ovaires et utérus, sont ouvertes comme une voie libre ou bouchées comme une route coupée.
Parfois, l’hystéroscopie prend le relais, explorant l’intérieur de l’utérus à la recherche de polypes, de fibromes ou de petites cicatrices invisibles autrement.
Chez monsieur, l’échographie testiculaire est une véritable loupe sur la mécanique de la reproduction.
Elle vérifie la structure interne des testicules, dépiste une varicocèle, cette dilatation veineuse qui peut altérer la qualité du sperme ou révèle une anomalie passée inaperçue.
Bien sûr, les analyses biologiques restent des alliées précieuses : hormones, spermogramme, bilans hormonaux. Mais pour beaucoup de couples, ce sont les images qui parlent le plus fort. Elles montrent, expliquent, et parfois rassurent. Elles ouvrent aussi la porte aux solutions : chirurgie des trompes, correction d’une varicocèle, traitement ciblé après découverte d’un polype.
Derrière chaque cliché radiologique, il y a un couple qui espère. Dans les ombres grises d’une échographie ou les tracés blancs d’une radiographie, il y a peut-être la clé qui transformera l’attente en naissance.
Et lorsque la science de l’image rejoint la force de l’amour, le chemin vers la vie peut enfin s’éclairer.
Ils s’imaginent déjà pousser un landau au parc, entendre un premier « papa » ou « maman » résonner dans leur salon.
Mais les mois passent, et le berceau reste vide.
Leurs relations sont régulières, harmonieuses, et rien, en surface, ne semble expliquer ce silence biologique.
Pourtant, la médecine sait que parfois, la réponse se cache dans des images.
Des images qui, plus qu’un simple cliché, peuvent raconter l’histoire intime de la fertilité.
Chez madame, l’échographie pelvienne est souvent la première rencontre avec ce monde invisible.
Elle scrute les ovaires, mesure leur réserve, évalue l’endomètre, cette couche délicate qui accueille l’embryon.
Vient ensuite l’hystérosalpingographie, un examen radiologique avec injection d’un produit de contraste.
C’est un moment clé : l’écran révèle si les trompes, ces fins tunnels entre ovaires et utérus, sont ouvertes comme une voie libre ou bouchées comme une route coupée.
Parfois, l’hystéroscopie prend le relais, explorant l’intérieur de l’utérus à la recherche de polypes, de fibromes ou de petites cicatrices invisibles autrement.
Chez monsieur, l’échographie testiculaire est une véritable loupe sur la mécanique de la reproduction.
Elle vérifie la structure interne des testicules, dépiste une varicocèle, cette dilatation veineuse qui peut altérer la qualité du sperme ou révèle une anomalie passée inaperçue.
Bien sûr, les analyses biologiques restent des alliées précieuses : hormones, spermogramme, bilans hormonaux. Mais pour beaucoup de couples, ce sont les images qui parlent le plus fort. Elles montrent, expliquent, et parfois rassurent. Elles ouvrent aussi la porte aux solutions : chirurgie des trompes, correction d’une varicocèle, traitement ciblé après découverte d’un polype.
Derrière chaque cliché radiologique, il y a un couple qui espère. Dans les ombres grises d’une échographie ou les tracés blancs d’une radiographie, il y a peut-être la clé qui transformera l’attente en naissance.
Et lorsque la science de l’image rejoint la force de l’amour, le chemin vers la vie peut enfin s’éclairer.












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