Au‑delà du terrain, la CAN 2025 s’affirme comme un révélateur des enjeux sociaux du continent. Invitée de l’émission YES WE CAN, Ramata Almamy Mbaye, directrice du Secteur des Sciences humaines et sociales de l’ICESCO, défend une vision du sport comme levier d’inclusion pour les jeunes et les femmes, de cohésion sociale et de développement durable en Afrique.
Organisée au Maroc, la Coupe d’Afrique des Nations 2025 ne se résume pas à une fête du football. Pour Ramata Almamy Mbaye, c’est un moment stratégique pour repenser la place du sport dans les sociétés africaines: un outil structurant d’inclusion, de cohésion et de durabilité, à inscrire au cœur des politiques publiques. Sur un continent jeune, confronté aux inégalités, au chômage et à la vulnérabilité sociale, le potentiel du sport reste sous‑exploité.
«Le sport est aujourd’hui un puissant facteur d’inclusion des jeunes et des femmes», souligne‑t‑elle, invitant à dépasser la logique purement événementielle.
En marge de la compétition, l’ICESCO a organisé à Rabat une conférence dédiée au sport au service de l’inclusion et du développement durable, avec l’objectif de montrer son impact concret sur la santé mentale, le bien‑être, l’innovation sociale et l’accès aux opportunités économiques, notamment pour les publics les plus fragiles.
La CAN 2025 met aussi en lumière le rôle central de la jeunesse et des femmes dans l’avenir du sport africain. L’ICESCO plaide pour une meilleure structuration des parcours sportifs, un accès élargi à la pratique et une reconnaissance du sport comme vecteur d’autonomie et de participation sociale. «Investir dans le sport, c’est investir dans le capital humain», rappelle la responsable, appelant à penser les politiques sportives comme des politiques sociales à part entière.
Pays hôte de l’édition 2025, le Maroc apparaît, aux yeux de l’ICESCO, comme un modèle propice à cette approche intégrée. Les investissements réalisés et la coordination institutionnelle autour de l’événement illustrent la capacité du sport à servir des objectifs plus larges de développement humain et de cohésion sociale.
La CAN 2025 dépasse alors le cadre sportif: elle devient un laboratoire d’idées, d’actions et d’engagement pour une Afrique décidée à faire de sa jeunesse le moteur d’un progrès durable.
Organisée au Maroc, la Coupe d’Afrique des Nations 2025 ne se résume pas à une fête du football. Pour Ramata Almamy Mbaye, c’est un moment stratégique pour repenser la place du sport dans les sociétés africaines: un outil structurant d’inclusion, de cohésion et de durabilité, à inscrire au cœur des politiques publiques. Sur un continent jeune, confronté aux inégalités, au chômage et à la vulnérabilité sociale, le potentiel du sport reste sous‑exploité.
«Le sport est aujourd’hui un puissant facteur d’inclusion des jeunes et des femmes», souligne‑t‑elle, invitant à dépasser la logique purement événementielle.
En marge de la compétition, l’ICESCO a organisé à Rabat une conférence dédiée au sport au service de l’inclusion et du développement durable, avec l’objectif de montrer son impact concret sur la santé mentale, le bien‑être, l’innovation sociale et l’accès aux opportunités économiques, notamment pour les publics les plus fragiles.
La CAN 2025 met aussi en lumière le rôle central de la jeunesse et des femmes dans l’avenir du sport africain. L’ICESCO plaide pour une meilleure structuration des parcours sportifs, un accès élargi à la pratique et une reconnaissance du sport comme vecteur d’autonomie et de participation sociale. «Investir dans le sport, c’est investir dans le capital humain», rappelle la responsable, appelant à penser les politiques sportives comme des politiques sociales à part entière.
Pays hôte de l’édition 2025, le Maroc apparaît, aux yeux de l’ICESCO, comme un modèle propice à cette approche intégrée. Les investissements réalisés et la coordination institutionnelle autour de l’événement illustrent la capacité du sport à servir des objectifs plus larges de développement humain et de cohésion sociale.
La CAN 2025 dépasse alors le cadre sportif: elle devient un laboratoire d’idées, d’actions et d’engagement pour une Afrique décidée à faire de sa jeunesse le moteur d’un progrès durable.












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