Par Mohammed Yassir Mouline
Il y a des moments de l’histoire où les nations se grandissent… Et puis il y a les moments où elles se ridiculisent toutes seules, sans qu’on leur demande rien… L’épisode du « caftan algérien » fait désormais partie de ces scènes de comédie nationale qu’un professeur de relations internationales pourrait projeter à ses étudiants en leur disant : « Voilà, mes enfants… ceci est un cas d’école… Ou plutôt… un cas de placard. » !!
Mais voilà… quand on s’habille de légendes pour masquer le vide historique, il suffit d’un petit courant d’air «en l’occurrence un vote de l’UNESCO » pour que le costume imaginaire tombe et révèle la réalité… une tentative de s’approprier un patrimoine qui ne lui appartient pas, et un régime pris en flagrant délit de dérapage textile… Caftangate à l’UNESCO… quand Tebboune s’emmêle dans les fils et se prend les coutures dans le tapis !!
Tout commence avec Tebboune, devenu en quelques années spécialiste régional des « révélations culturelles fulgurantes »… Après avoir réinventé l’histoire, la géographie et parfois les lois de la physique politique, le voilà qui s’attaque au textile… « Le caftan ? Algérien ! »… Déclaration lâchée comme ça, avec l’assurance d’un présentateur météo annonçant du soleil dans le Sahara !!
En face, un pays entier « peuple, ministres, plateaux télé et influenceurs en chômage intellectuel » se met instantanément à répéter la sentence à l’unisson… Une chorale de propagande digne des plus beaux concerts de “Yes Sir, Président !”… Et plus ils répètent, plus ils y croient !! À ce niveau-là, ce n’est plus une croyance… c’est un pélérinage vers le mensonge !!
Très vite, la fable s’habille d’ornements patriotiques… le caftan devient soudain « symbole des martyrs », « mémoire éternelle », « héritage révolutionnaire », et pourquoi pas « patrimoine préhistorique » tant qu’on y est… On s’attendait presque à entendre qu’il figurait dans la valise de l’Émir Abdelkader !!
Mais voilà que survient le jour J… la séance de l’UNESCO… Au lieu d’un débat serein sur la culture, le monde assiste à une scène rappelant un sketch des Inconnus… Le Maroc arrive, dossiers sous le bras, manuscrits médiévaux, travaux d’historiens, photos, archives… L’Algérie débarque avec un slogan et des mines offensées !! Dès les premières secondes, l’écart est flagrant, c’est comme voir un avocat chevronné affronter un type qui a préparé sa plaidoirie en recopiant Wikipédia !! Et soudain, c’est le drame diplomatique… L’UNESCO vote… Le monde vote… Et tout vote… pour le Maroc… La gifle résonne d’Alger à Tamanrasset… Même les micros ont dû se retourner pour voir qui venait de se prendre une telle claque !!
Dans les couloirs, les observateurs internationaux étouffent leur fou rire… ce n’est pas tous les jours qu’une nation entière se prend les pieds dans son propre mensonge textile… Le régime militaire algérien tente de sauver les meubles (ou les coutures…), on parle de « manipulation », de « complot », de « lobby marocain »… Bref, le kit complet du pays qui n’a pas de preuves mais beaucoup d’imagination !! Pourtant, toute cette histoire renvoie à une vérité élémentaire que même un élève de primaire comprend… On ne s’invente pas un patrimoine comme on s’invente une biographie sur Twitter !!!
Le caftan marocain, ce n’est pas un slogan… c’est treize siècles d’artisanat, de dynasties, de savoir-faire, de cérémonies, de transmission… La planète entière le sait… sauf ceux qui veulent lui voler l’étiquette… Pendant ce temps, Rabat regarde la scène avec la tranquille sérénité d’un pays qui n’a rien à prouver… Les images de Sa Majesté Mohammed VI en djellaba « toujours impeccable, toujours majestueux » circulent comme un manuel vivant du patrimoine national… Les princesses, rayonnantes dans leurs caftans ‘’Makhzani ’’ brodés d’or, rappellent à elles seules ce que même les rapports internationaux n’arrivent pas à traduire… ici, l’authenticité n’est pas déclarée, elle est vécue…
Pendant ce temps, Alger s’agite, crie au vol culturel, renonce puis revient, accuse puis se ravise, bref, une danse du ventre diplomatique digne d’un festival comique… À croire qu’ils savaient qu’en contestant le caftan, ils risquaient de se retrouver en sous-vêtements diplomatiques !!
L’UNESCO n’a pas seulement tranché sur le caftan, elle a surtout montré qu’entre un pays qui tisse son histoire depuis des siècles et un autre qui la recoud chaque semaine, les coutures ne tiennent jamais du même côté… dans cette affaire, le caftan n’a bougé ni de pays ni de pages d’histoire… Mais Tebboune, lui, aura réussi un exploit… vouloir se parer d’un habit prestigieux… et finir, devant le monde entier, complètement dénudé de crédibilité… Wa Salam Aleykoum wa Rahmatou Allah.
Mais voilà… quand on s’habille de légendes pour masquer le vide historique, il suffit d’un petit courant d’air «en l’occurrence un vote de l’UNESCO » pour que le costume imaginaire tombe et révèle la réalité… une tentative de s’approprier un patrimoine qui ne lui appartient pas, et un régime pris en flagrant délit de dérapage textile… Caftangate à l’UNESCO… quand Tebboune s’emmêle dans les fils et se prend les coutures dans le tapis !!
Tout commence avec Tebboune, devenu en quelques années spécialiste régional des « révélations culturelles fulgurantes »… Après avoir réinventé l’histoire, la géographie et parfois les lois de la physique politique, le voilà qui s’attaque au textile… « Le caftan ? Algérien ! »… Déclaration lâchée comme ça, avec l’assurance d’un présentateur météo annonçant du soleil dans le Sahara !!
En face, un pays entier « peuple, ministres, plateaux télé et influenceurs en chômage intellectuel » se met instantanément à répéter la sentence à l’unisson… Une chorale de propagande digne des plus beaux concerts de “Yes Sir, Président !”… Et plus ils répètent, plus ils y croient !! À ce niveau-là, ce n’est plus une croyance… c’est un pélérinage vers le mensonge !!
Très vite, la fable s’habille d’ornements patriotiques… le caftan devient soudain « symbole des martyrs », « mémoire éternelle », « héritage révolutionnaire », et pourquoi pas « patrimoine préhistorique » tant qu’on y est… On s’attendait presque à entendre qu’il figurait dans la valise de l’Émir Abdelkader !!
Mais voilà que survient le jour J… la séance de l’UNESCO… Au lieu d’un débat serein sur la culture, le monde assiste à une scène rappelant un sketch des Inconnus… Le Maroc arrive, dossiers sous le bras, manuscrits médiévaux, travaux d’historiens, photos, archives… L’Algérie débarque avec un slogan et des mines offensées !! Dès les premières secondes, l’écart est flagrant, c’est comme voir un avocat chevronné affronter un type qui a préparé sa plaidoirie en recopiant Wikipédia !! Et soudain, c’est le drame diplomatique… L’UNESCO vote… Le monde vote… Et tout vote… pour le Maroc… La gifle résonne d’Alger à Tamanrasset… Même les micros ont dû se retourner pour voir qui venait de se prendre une telle claque !!
Dans les couloirs, les observateurs internationaux étouffent leur fou rire… ce n’est pas tous les jours qu’une nation entière se prend les pieds dans son propre mensonge textile… Le régime militaire algérien tente de sauver les meubles (ou les coutures…), on parle de « manipulation », de « complot », de « lobby marocain »… Bref, le kit complet du pays qui n’a pas de preuves mais beaucoup d’imagination !! Pourtant, toute cette histoire renvoie à une vérité élémentaire que même un élève de primaire comprend… On ne s’invente pas un patrimoine comme on s’invente une biographie sur Twitter !!!
Le caftan marocain, ce n’est pas un slogan… c’est treize siècles d’artisanat, de dynasties, de savoir-faire, de cérémonies, de transmission… La planète entière le sait… sauf ceux qui veulent lui voler l’étiquette… Pendant ce temps, Rabat regarde la scène avec la tranquille sérénité d’un pays qui n’a rien à prouver… Les images de Sa Majesté Mohammed VI en djellaba « toujours impeccable, toujours majestueux » circulent comme un manuel vivant du patrimoine national… Les princesses, rayonnantes dans leurs caftans ‘’Makhzani ’’ brodés d’or, rappellent à elles seules ce que même les rapports internationaux n’arrivent pas à traduire… ici, l’authenticité n’est pas déclarée, elle est vécue…
Pendant ce temps, Alger s’agite, crie au vol culturel, renonce puis revient, accuse puis se ravise, bref, une danse du ventre diplomatique digne d’un festival comique… À croire qu’ils savaient qu’en contestant le caftan, ils risquaient de se retrouver en sous-vêtements diplomatiques !!
L’UNESCO n’a pas seulement tranché sur le caftan, elle a surtout montré qu’entre un pays qui tisse son histoire depuis des siècles et un autre qui la recoud chaque semaine, les coutures ne tiennent jamais du même côté… dans cette affaire, le caftan n’a bougé ni de pays ni de pages d’histoire… Mais Tebboune, lui, aura réussi un exploit… vouloir se parer d’un habit prestigieux… et finir, devant le monde entier, complètement dénudé de crédibilité… Wa Salam Aleykoum wa Rahmatou Allah.












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