Parmi les choix forts du technicien italien : le retour du milieu de terrain Casemiro (Manchester United) et celui du défenseur Danilo (Flamengo). En revanche, Neymar, encore en phase de reprise avec le Santos FC, son club formateur, est laissé de côté.
L’attaquant Rodrygo (Real Madrid) ne figure pas non plus dans cette sélection. Éprouvé physiquement et mentalement après une longue saison européenne, il a convenu avec Ancelotti de faire l’impasse sur ce rassemblement dédié aux qualifications pour la Coupe du monde 2026.
Lors de sa conférence de presse, le nouvel entraîneur s’est montré ému et déterminé :
« C’est un honneur immense de diriger la meilleure sélection du monde. J’ai un grand défi devant moi : ramener le Brésil au sommet. Je suis très enthousiaste et je pense que nous allons accomplir de grandes choses ensemble », a-t-il affirmé.
Un accueil chaleureux et des attentes immenses
Fort de son impressionnant palmarès — cinq Ligues des champions à son actif et seul coach à avoir remporté les championnats majeurs d’Angleterre, d’Espagne, d’Allemagne, d’Italie et de France — Ancelotti a reçu un accueil chaleureux de la part des légendes du football brésilien.
Luiz Felipe Scolari, champion du monde en 2002, lui a souhaité plein succès :
« Sois fidèle à toi-même et tu obtiendras ici ce que tu as déjà accompli ailleurs. »
D’autres icônes comme Zico, Bebeto, Gérson et Rivelino ont également salué son arrivée.
Objectif 2026 : une sixième étoile dans le viseur
Ancelotti aura pour mission de qualifier le Brésil pour la Coupe du monde 2026, organisée aux États-Unis, au Canada et au Mexique, avec l’objectif ultime d’ajouter une sixième étoile au palmarès de la Seleção.
Après 14 journées des éliminatoires sud-américaines, le Brésil pointe à la quatrième place avec 21 points. Les six premières équipes décrocheront un ticket direct, la septième devra passer par un barrage intercontinental.
Le prochain défi attend les Brésiliens le 5 juin face à l’Équateur, à Guayaquil. La première phase du stage s’achèvera le 10 juin à São Paulo contre le Paraguay.












L'accueil

















