Lors de la séance d’ouverture, les représentants institutionnels avaient souligné l’importance de renforcer les synergies entre les territoires, notamment à travers l’échange d’expertises et la co-construction de solutions adaptées aux besoins locaux. Ils avaient insisté sur le rôle central de l’innovation et de la coopération internationale pour relever les défis de la mobilité durable dans une métropole aussi dynamique que Casablanca.

Cet appel à projets visait à identifier et soutenir des initiatives capables d’améliorer la fluidité des déplacements, de réduire l’empreinte environnementale du transport et d’encourager des alternatives viables aux modes traditionnels. Les thématiques abordées avaient inclus le développement du transport collectif, la digitalisation des services de mobilité, l’intégration de véhicules propres et l’optimisation des infrastructures urbaines.

Les participants avaient été invités à soumettre des propositions concrètes, alliant créativité et faisabilité, afin de répondre aux attentes croissantes de la population en matière de transport urbain. Le processus devait permettre d’accompagner les porteurs de projets, de favoriser la mise en réseau avec des partenaires publics et privés et de faciliter l’accès à des financements.

En arrière-plan, cette initiative s’était inscrite dans la stratégie de modernisation des grandes villes marocaines, confrontées à des problématiques de congestion, de pollution et d’inégalités d’accès aux moyens de transport. Casablanca, moteur économique du pays, avait été placée au cœur de ce chantier d’avenir.

Les organisateurs avaient conclu la rencontre en rappelant que la mobilité durable ne relevait pas seulement d’un enjeu technique ou financier, mais aussi d’un choix de société. Ils avaient réaffirmé leur volonté de travailler main dans la main pour transformer les contraintes en opportunités et bâtir une ville plus fluide, plus verte et plus inclusive.