Trois axes forts à surveiller :
1. L’IRM « black-blood » pour les vascularites
Un des temps forts de cette édition sera la session intitulée Radiology Bootcamp prévue le 25 octobre, consacrée à l’imagerie des maladies auto-inflammatoires. Parmi les thèmes abordés : l’utilisation de l’IRM « black-blood sequencing » qui permet de mieux visualiser la paroi des gros vaisseaux chez les patients atteints de vascularites.
Selon la coordinatrice de la session :
Pour les professionnels de l’imagerie libérale, cette technique présente un intérêt clé : elle enrichit le champ d’intervention au-delà de l’articulaire classique et permet de répondre à une demande croissante de la part des rhumatologues.
2. Affiner l’imagerie articulaire/inflammatoire
Toujours dans la même session, un cours intitulé Axial Imaging in Inflammatory Arthropathy : Distinguishing Degeneration from Disease met en lumière le défi suivant : différencier à l’imagerie les modifications « mécaniques/dégénératives » des signes d’« inflammation vraie ».
Concrètement, cela signifie pour le radiologue : adopter des séquences IRM ou échographiques plus sensibles à l’œdème osseux, à la synovite, mais aussi interpréter au-delà du cliché classique. Ce glissement ouvre la voie à une imagerie plus « rhumatologique » et spécialisée.
3. Arthropathies cristallines : vers une meilleure détection
Le thème Reading the Crystals : Imaging Manifestations of Crystalline Arthropathies va explorer les formes d’arthrites liées aux dépôts de cristaux (goutte, chondrocalcinose…).
La nouveauté ?
L’imagerie devient plus fine, plus ciblée : échographie haute résolution, scanner ou IRM adaptés aux dépôts, aux micro-calcifications. Pour un cabinet libéral, c’est une piste à envisager pour se différencier : proposer une expertise dédiée aux arthropathies à cristaux.
Un des temps forts de cette édition sera la session intitulée Radiology Bootcamp prévue le 25 octobre, consacrée à l’imagerie des maladies auto-inflammatoires. Parmi les thèmes abordés : l’utilisation de l’IRM « black-blood sequencing » qui permet de mieux visualiser la paroi des gros vaisseaux chez les patients atteints de vascularites.
Selon la coordinatrice de la session :
« we will cover what black-blood MRI is, when it is clinically useful and how to order it ». ACR Convergence Today
Pour les professionnels de l’imagerie libérale, cette technique présente un intérêt clé : elle enrichit le champ d’intervention au-delà de l’articulaire classique et permet de répondre à une demande croissante de la part des rhumatologues.
2. Affiner l’imagerie articulaire/inflammatoire
Toujours dans la même session, un cours intitulé Axial Imaging in Inflammatory Arthropathy : Distinguishing Degeneration from Disease met en lumière le défi suivant : différencier à l’imagerie les modifications « mécaniques/dégénératives » des signes d’« inflammation vraie ».
Concrètement, cela signifie pour le radiologue : adopter des séquences IRM ou échographiques plus sensibles à l’œdème osseux, à la synovite, mais aussi interpréter au-delà du cliché classique. Ce glissement ouvre la voie à une imagerie plus « rhumatologique » et spécialisée.
3. Arthropathies cristallines : vers une meilleure détection
Le thème Reading the Crystals : Imaging Manifestations of Crystalline Arthropathies va explorer les formes d’arthrites liées aux dépôts de cristaux (goutte, chondrocalcinose…).
La nouveauté ?
L’imagerie devient plus fine, plus ciblée : échographie haute résolution, scanner ou IRM adaptés aux dépôts, aux micro-calcifications. Pour un cabinet libéral, c’est une piste à envisager pour se différencier : proposer une expertise dédiée aux arthropathies à cristaux.
Pourquoi ces évolutions comptent pour un centre de radiologie libéral ?
L’imagerie se positionne comme partenaire privilégié de la rhumatologie : diagnostic précoce, suivi de traitement, ajustement thérapeutique.
Un centre qui maîtrise ces nouveautés devient acteur du parcours de soin.
- Investissement technologique ciblé : prévoir l’acquisition ou l’accès à des séquences IRM spécifiques (ex. black-blood) ou des outils d’échographie musculo-squelettique haut-débit peut générer un retour notable.
- Formation et montée en compétences : les techniciens, manipulateurs et radiologues doivent se familiariser avec ces protocoles nouveaux.
Le congrès offre des sessions de bootcamp et des ateliers (« hands-on ») à exploiter.
- Communication et positionnement : un centre libéral qui s’affiche comme « spécialiste de l’imagerie rhumatologique » répond à une demande croissante et peut devenir un référent régional.
Un centre qui maîtrise ces nouveautés devient acteur du parcours de soin.
- Investissement technologique ciblé : prévoir l’acquisition ou l’accès à des séquences IRM spécifiques (ex. black-blood) ou des outils d’échographie musculo-squelettique haut-débit peut générer un retour notable.
- Formation et montée en compétences : les techniciens, manipulateurs et radiologues doivent se familiariser avec ces protocoles nouveaux.
Le congrès offre des sessions de bootcamp et des ateliers (« hands-on ») à exploiter.
- Communication et positionnement : un centre libéral qui s’affiche comme « spécialiste de l’imagerie rhumatologique » répond à une demande croissante et peut devenir un référent régional.
Ce que votre centre peut retenir :
- Explorez dès maintenant l’opportunité d’intégrer l’IRM black-blood ou de collaborer avec un centre disposant de cette capacité.
- Mettez en place un protocole d’imagerie spécifique pour les pathologies rhumatologiques (arthropathies cristallines, spondyloarthropathies, vascularites).
- Organisez une session de formation interne (ou en partenariat) après le congrès afin de transmettre les enseignements vus à Chicago.
- Préparez une mise à jour de votre offre de services et de votre marketing institutionnel autour de « l’imagerie rhumatologique avancée ».
En conclusion, le congrès d’octobre à Chicago marque non seulement un moment fort pour la rhumatologie mais aussi un signal clair pour la radiologie : l’imagerie des maladies rhumatismales entre dans une nouvelle phase, plus technique, plus spécifique, plus intégrée aux équipes cliniques.
- Mettez en place un protocole d’imagerie spécifique pour les pathologies rhumatologiques (arthropathies cristallines, spondyloarthropathies, vascularites).
- Organisez une session de formation interne (ou en partenariat) après le congrès afin de transmettre les enseignements vus à Chicago.
- Préparez une mise à jour de votre offre de services et de votre marketing institutionnel autour de « l’imagerie rhumatologique avancée ».
En conclusion, le congrès d’octobre à Chicago marque non seulement un moment fort pour la rhumatologie mais aussi un signal clair pour la radiologie : l’imagerie des maladies rhumatismales entre dans une nouvelle phase, plus technique, plus spécifique, plus intégrée aux équipes cliniques.












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