Dans la douce brise de Dakhla, le Festival international du film s'est ouvert avec un éclat particulier cette année. La 4ᵉ édition du concours de courts-métrages « La Marche verte vue par les jeunes créateurs d’image » a mis à l'honneur des talents émergents qui ont su capturer l'essence de cet événement historique à travers leurs objectifs. Le Grand Prix a été décerné à « Nidâe Al Watan » (L’Appel de la Patrie), une œuvre poignante signée Ibrahim Khalil Ben Jaber, qui nous plonge dans une réflexion profonde sur l'identité et la mémoire collective.
Célébration de la créativité au Festival international du film de Dakhla
La cérémonie de remise des prix, en marge de l'ouverture du festival, a été un moment de reconnaissance pour ces jeunes cinéastes qui, par leur créativité, ont su rendre hommage à l'épopée de la Marche verte. Le Prix du jury a couronné « Mémoire d’un volontaire » de Hamza Azhar, tandis que le Prix du meilleur espoir a salué « Massira Fath Al Khadrae » de Mohamed Nadir, un film vibrant d'énergie et d'authenticité, réalisé par un talent de moins de 21 ans.
Célébration de la créativité au Festival international du film de Dakhla
La cérémonie de remise des prix, en marge de l'ouverture du festival, a été un moment de reconnaissance pour ces jeunes cinéastes qui, par leur créativité, ont su rendre hommage à l'épopée de la Marche verte. Le Prix du jury a couronné « Mémoire d’un volontaire » de Hamza Azhar, tandis que le Prix du meilleur espoir a salué « Massira Fath Al Khadrae » de Mohamed Nadir, un film vibrant d'énergie et d'authenticité, réalisé par un talent de moins de 21 ans.
Le palmarès de la 4ᵉ édition : Jeunes talents à l'honneur
Sous la présidence de Hakim Belabbes, directeur de l'Institut supérieur des métiers de l’audiovisuel et du cinéma (ISMAC), et avec la participation de figures emblématiques comme le réalisateur Youssef Britelet et Sanae Benmoussa du Centre cinématographique marocain (CCM), le jury a su déceler les pépites de cette édition. Lancée en 2021, cette initiative est une belle opportunité pour les jeunes cinéastes amateurs, leur permettant de revisiter l'histoire à travers des œuvres mêlant archives, animation et fiction.
La Marche verte, un sujet intemporel revisité avec passion et innovation
Cette compétition, née d'un partenariat entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et le CCM, offre une plateforme unique aux créateurs d'images âgés de 35 ans au plus. Elle incite à une exploration audacieuse de l'histoire de la Marche verte, un événement qui continue de résonner dans le cœur des Marocains. Les œuvres présentées sont autant de fenêtres ouvertes sur notre passé, racontées avec la fraîcheur et l'enthousiasme de la jeunesse.
Sous la présidence de Hakim Belabbes, directeur de l'Institut supérieur des métiers de l’audiovisuel et du cinéma (ISMAC), et avec la participation de figures emblématiques comme le réalisateur Youssef Britelet et Sanae Benmoussa du Centre cinématographique marocain (CCM), le jury a su déceler les pépites de cette édition. Lancée en 2021, cette initiative est une belle opportunité pour les jeunes cinéastes amateurs, leur permettant de revisiter l'histoire à travers des œuvres mêlant archives, animation et fiction.
La Marche verte, un sujet intemporel revisité avec passion et innovation
Cette compétition, née d'un partenariat entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et le CCM, offre une plateforme unique aux créateurs d'images âgés de 35 ans au plus. Elle incite à une exploration audacieuse de l'histoire de la Marche verte, un événement qui continue de résonner dans le cœur des Marocains. Les œuvres présentées sont autant de fenêtres ouvertes sur notre passé, racontées avec la fraîcheur et l'enthousiasme de la jeunesse.












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