Dans le cadre d'opérations sécuritaires préventives, le BCIJ a mené des perquisitions aux domiciles des suspects, révélant des éléments troublants. Les enquêteurs ont saisi un manuscrit contenant le texte de l’allégeance prêtée par les membres de la cellule au prétendu émir de l’organisation terroriste Daech. Un enregistrement vidéo de cette allégeance a également été découvert, ainsi qu’un drapeau de l'organisation, des tenues à caractère extrémiste, et des répliques d’armes, dont un fusil et deux pistolets.

Les investigations ont mis en lumière des projets terroristes avancés, avec des essais sur le terrain pour la fabrication d'engins explosifs artisanaux dans une zone montagneuse près de Tétouan. Les suspects avaient déjà commencé à mettre en œuvre leur plan, en lien direct avec l’agenda destructeur de Daech.
Le démantèlement de cette cellule est un coup dur porté au terrorisme au Maroc, qui a connu une montée des menaces ces dernières années. Le BCIJ, en tant qu'entité clé dans la lutte contre le terrorisme, a intensifié ses efforts pour neutraliser les projets subversifs visant à déstabiliser le pays.

Le fait que ces individus aient prêté allégeance à Daech souligne la persistance de l'idéologie extrémiste au sein de certaines franges de la jeunesse marocaine. Ce phénomène est particulièrement préoccupant, surtout dans un contexte où le Maroc a réussi à maintenir une certaine stabilité malgré les défis sécuritaires.

Le démantèlement de cette cellule terroriste est une étape importante dans la lutte contre le terrorisme au Maroc, mais la vigilance doit rester de mise. Quelles seront les prochaines mesures prises par les autorités pour prévenir de telles menaces ? Comment la société civile peut-elle contribuer à la lutte contre la radicalisation ? La situation est à suivre de près !