Le 19 juin 2025, Rabat a accueilli une cérémonie pas comme les autres. Sous les projecteurs, un carnet de timbres qui raconte une histoire : celle des métiers ancestraux marocains, transmis de génération en génération. Barid Al-Maghrib, en partenariat avec l’UNESCO et le Secrétariat d’État à l’Artisanat, a officiellement dévoilé cette émission philatélique spéciale, un hommage vibrant à la richesse culturelle du Royaume.
Dix savoir-faire, dix timbres : un patrimoine vivant en miniature
Imaginez un petit bout de papier qui porte en lui toute l’histoire d’un métier ancestral. C’est le pari réussi de ce carnet, qui met en lumière dix savoir-faire emblématiques du Maroc. Parmi eux, le caftan rbati, symbole d’élégance intemporelle, ou encore le Dagg souiri, une technique artisanale qui fait honneur à la ville d’Essaouira. On retrouve aussi la céramique de Meknès, le feutrage en laine, et même le pouf en cuir brodé, un classique des salons marocains.
Chaque timbre est une œuvre d’art miniature, conçue pour raconter une histoire et immortaliser des métiers qui, bien que parfois menacés par la modernité, restent des piliers de notre identité nationale.
Dix savoir-faire, dix timbres : un patrimoine vivant en miniature
Imaginez un petit bout de papier qui porte en lui toute l’histoire d’un métier ancestral. C’est le pari réussi de ce carnet, qui met en lumière dix savoir-faire emblématiques du Maroc. Parmi eux, le caftan rbati, symbole d’élégance intemporelle, ou encore le Dagg souiri, une technique artisanale qui fait honneur à la ville d’Essaouira. On retrouve aussi la céramique de Meknès, le feutrage en laine, et même le pouf en cuir brodé, un classique des salons marocains.
Chaque timbre est une œuvre d’art miniature, conçue pour raconter une histoire et immortaliser des métiers qui, bien que parfois menacés par la modernité, restent des piliers de notre identité nationale.
Comme le souligne Amin Benjelloun Touimi, directeur général de Barid Al-Maghrib : « Ces timbres sont bien plus qu’une émission philatélique, ils sont une déclaration d’amour à notre patrimoine vivant. »
Une réception chaleureuse et des échos sur les réseaux
La cérémonie de dévoilement a réuni des personnalités influentes, dont Eric Falt, directeur du Bureau Régional de l’UNESCO pour le Maghreb, et Tarik Sadik, directeur général de la Maison de l’Artisan. Mais au-delà des discours officiels, c’est sur les réseaux sociaux que l’initiative a trouvé son écho le plus vibrant.
Sur Instagram, les publications autour du carnet de timbres se multiplient : « Trop beau, j’ai envie de tous les collectionner ! », commente une internaute, tandis qu’un autre écrit : « Le Maroc, c’est ça : une culture riche qu’on doit préserver et transmettre. »
À collectionner sans modération
Ce carnet de timbres n’est pas seulement une collection pour les passionnés de philatélie, c’est une invitation à redécouvrir les métiers qui font la fierté du Maroc. Que vous soyez amateur d’art, curieux de patrimoine ou simplement nostalgique des savoir-faire d’antan, ces timbres sont faits pour vous.
Sur Instagram, les publications autour du carnet de timbres se multiplient : « Trop beau, j’ai envie de tous les collectionner ! », commente une internaute, tandis qu’un autre écrit : « Le Maroc, c’est ça : une culture riche qu’on doit préserver et transmettre. »
À collectionner sans modération
Ce carnet de timbres n’est pas seulement une collection pour les passionnés de philatélie, c’est une invitation à redécouvrir les métiers qui font la fierté du Maroc. Que vous soyez amateur d’art, curieux de patrimoine ou simplement nostalgique des savoir-faire d’antan, ces timbres sont faits pour vous.












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