Le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) révèle une légère hausse des divorces au Maroc en 2024, avec 40.214 affaires enregistrées (+0,5 %).

Le divorce par consentement mutuel domine largement, représentant 96,8 % des cas, tandis que les dissolutions judiciaires (taṭlîq) reculent de 3,1 %, le taṭlîq pour discorde représentant 97,4 % de ces dossiers.

Les chiffres reflètent une tendance vers la conciliation et la médiation, malgré la persistance de mariages de mineurs et des défis dans les zones rurales. Globalement, 147.895 affaires de rupture conjugale ont été traitées, confirmant la judiciarisation des divorces au Maroc.