Cette hausse est attribuable à la combinaison d’un certain nombre de facteurs, telles des contraintes liées à l’approvisionnement et une demande croissante, notamment de l’Asie.
Et ce, au moment où les cours du gaz naturel en Europe sont tombés à 49 €/MWh, leur plus bas niveau depuis août 2021, marquant ainsi une chute de 18 % sur un mois et de 86 % depuis leur record datant d’août dernier (339 €/MWh).
Toutefois, ils restent historiquement élevés, 3 fois supérieurs à leur niveau il y a deux ans.
La DEPF, qui dresse cette situation, note que les craintes d’une pénurie de gaz et d’une flambée des prix de l’électricité et du chauffage se sont apaisées suite à une demande relativement faible, un temps doux, des stocks pleins grâce au GNL américain.
Déjà, au début janvier 2023, révèle la DEPF, les sites de stockage de gaz en Europe étaient à un niveau record, remplis à 84 %, et l’orientation de l’Europe vers le GNL, essentiellement en provenance des USA, au détriment des gazoducs russes, a fait que les volumes importés par méthaniers aient grimpé d’environ 60 % en 2022.
Et ce, au moment où les cours du gaz naturel en Europe sont tombés à 49 €/MWh, leur plus bas niveau depuis août 2021, marquant ainsi une chute de 18 % sur un mois et de 86 % depuis leur record datant d’août dernier (339 €/MWh).
Toutefois, ils restent historiquement élevés, 3 fois supérieurs à leur niveau il y a deux ans.
La DEPF, qui dresse cette situation, note que les craintes d’une pénurie de gaz et d’une flambée des prix de l’électricité et du chauffage se sont apaisées suite à une demande relativement faible, un temps doux, des stocks pleins grâce au GNL américain.
Déjà, au début janvier 2023, révèle la DEPF, les sites de stockage de gaz en Europe étaient à un niveau record, remplis à 84 %, et l’orientation de l’Europe vers le GNL, essentiellement en provenance des USA, au détriment des gazoducs russes, a fait que les volumes importés par méthaniers aient grimpé d’environ 60 % en 2022.