Plus de 300 élèves et enseignants ont été enlevés dans une école catholique au Nigeria, provoquant une vague d’indignation internationale. Le Pape Léon XIV a appelé à leur libération immédiate et sans conditions.
Le Pape Léon XIV appelle à la libération des otages
Le Pape Léon XIV a lancé un appel urgent ce lundi 24 novembre 2025 pour la libération immédiate des 300 élèves et enseignants enlevés dans une école catholique au Nigeria. Cet acte, qualifié de "barbare et inacceptable" par le Saint-Père, a provoqué une vague d’indignation à travers le monde. L’enlèvement a eu lieu tôt ce matin dans une école catholique de la région de Kaduna, au nord du Nigeria. Les ravisseurs, dont l’identité reste inconnue, ont emmené les otages dans une zone reculée. Les autorités locales ont confirmé que des opérations de recherche sont en cours, mais aucun détail n’a été fourni sur les conditions de leur libération.
Dans un message vidéo diffusé depuis le Vatican, le Pape a exprimé sa profonde tristesse et sa colère face à cette tragédie : "Ces enfants et éducateurs, dont le seul crime est de chercher la lumière du savoir, doivent être libérés sans condition. L’Église ne restera pas silencieuse face à la terreur." Il a également appelé à une mobilisation internationale pour lutter contre "l’industrie des enlèvements" en Afrique de l’Ouest, soulignant l’urgence de protéger les écoles et les lieux de culte.
La communauté internationale a réagi avec fermeté. L’ONU a qualifié l’enlèvement de "crime contre l’humanité" et a promis de soutenir les efforts de libération. Les États-Unis et la France ont proposé une aide logistique et technique aux autorités nigérianes. Plusieurs pays africains ont également condamné l’acte et appelé à une coopération régionale renforcée pour lutter contre les groupes armés.
Le Nigeria fait face à une crise sécuritaire croissante, avec des enlèvements massifs devenus monnaie courante dans les régions du nord. Les écoles, en particulier celles gérées par des institutions religieuses, sont de plus en plus ciblées, menaçant l’éducation et l’avenir des jeunes générations.
L’enlèvement des 300 otages au Nigeria est une tragédie qui appelle à une action immédiate et concertée. L’appel du Pape Léon XIV résonne comme un cri d’alarme pour la communauté internationale, rappelant l’urgence de protéger les droits fondamentaux et de préserver la paix dans une région en proie à la violence.
Dans un message vidéo diffusé depuis le Vatican, le Pape a exprimé sa profonde tristesse et sa colère face à cette tragédie : "Ces enfants et éducateurs, dont le seul crime est de chercher la lumière du savoir, doivent être libérés sans condition. L’Église ne restera pas silencieuse face à la terreur." Il a également appelé à une mobilisation internationale pour lutter contre "l’industrie des enlèvements" en Afrique de l’Ouest, soulignant l’urgence de protéger les écoles et les lieux de culte.
La communauté internationale a réagi avec fermeté. L’ONU a qualifié l’enlèvement de "crime contre l’humanité" et a promis de soutenir les efforts de libération. Les États-Unis et la France ont proposé une aide logistique et technique aux autorités nigérianes. Plusieurs pays africains ont également condamné l’acte et appelé à une coopération régionale renforcée pour lutter contre les groupes armés.
Le Nigeria fait face à une crise sécuritaire croissante, avec des enlèvements massifs devenus monnaie courante dans les régions du nord. Les écoles, en particulier celles gérées par des institutions religieuses, sont de plus en plus ciblées, menaçant l’éducation et l’avenir des jeunes générations.
L’enlèvement des 300 otages au Nigeria est une tragédie qui appelle à une action immédiate et concertée. L’appel du Pape Léon XIV résonne comme un cri d’alarme pour la communauté internationale, rappelant l’urgence de protéger les droits fondamentaux et de préserver la paix dans une région en proie à la violence.












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