Pour sa collection printemps-été 2026, Casablanca ne défile pas: elle danse. Dans une cathédrale parisienne transformée en club sacré, la maison fondée en 2018 par le Franco-Marocain Charaf Tajer rend un hommage vibrant à la House Music, érigée en manifeste culturel.
Loin des décors convenus de la mode, le 1er octobre, pendant la Fashion Week de Paris, Casablanca a dévoilé sa collection Printemps-Été 2026 dans un lieu inattendu: la Cathédrale Américaine de Paris, édifiée en 1859.
Portée par une scénographie à rebours des codes fidèle à l’ADN de la marque, la présentation The Love of House a séduit. Sur le podium, les silhouettes se succèdent au rythme d’un DJ set méticuleusement mixé.
Tailleurs déconstruits, mini-jupes aux dégradés subtils, cargos citron vert, tops imprimés léopard, chemises en soie logotypées, costumes aux lignes nettes et bandeaux scintillants… l’ensemble compose une ode textile à la fête, au mouvement et au métissage des styles.
Dans cette vision où l’individu se fond dans le collectif, les influences club, festival et sportswear se mêlent. Les pièces convoquent à la fois les nuits électriques des clubs underground de Chicago et les matinées brumeuses des dancefloors à ciel ouvert.
On y voit des hoodies glissés sous des chemises, des débardeurs multicolores, des vestes façon coach des années 80, mais aussi des costumes qui se muent en survêtements, ou des mini-jupes cargo qui flirtent avec l’uniforme rave.
Chaque silhouette narre une histoire: celle de personnages qui habitent l’univers de Casablanca et incarnent une identité plurielle, fluide, toujours en mouvement.
Portée par la musique de Louis Vega et les voix exaltées d’une chorale gospel, la collection ne se contente pas de revisiter les codes de la House: Casablanca les incarne pleinement.
Loin des décors convenus de la mode, le 1er octobre, pendant la Fashion Week de Paris, Casablanca a dévoilé sa collection Printemps-Été 2026 dans un lieu inattendu: la Cathédrale Américaine de Paris, édifiée en 1859.
Portée par une scénographie à rebours des codes fidèle à l’ADN de la marque, la présentation The Love of House a séduit. Sur le podium, les silhouettes se succèdent au rythme d’un DJ set méticuleusement mixé.
Tailleurs déconstruits, mini-jupes aux dégradés subtils, cargos citron vert, tops imprimés léopard, chemises en soie logotypées, costumes aux lignes nettes et bandeaux scintillants… l’ensemble compose une ode textile à la fête, au mouvement et au métissage des styles.
Dans cette vision où l’individu se fond dans le collectif, les influences club, festival et sportswear se mêlent. Les pièces convoquent à la fois les nuits électriques des clubs underground de Chicago et les matinées brumeuses des dancefloors à ciel ouvert.
On y voit des hoodies glissés sous des chemises, des débardeurs multicolores, des vestes façon coach des années 80, mais aussi des costumes qui se muent en survêtements, ou des mini-jupes cargo qui flirtent avec l’uniforme rave.
Chaque silhouette narre une histoire: celle de personnages qui habitent l’univers de Casablanca et incarnent une identité plurielle, fluide, toujours en mouvement.
Portée par la musique de Louis Vega et les voix exaltées d’une chorale gospel, la collection ne se contente pas de revisiter les codes de la House: Casablanca les incarne pleinement.












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