Un écran face à l’océan
La plage de Sidi Abed s’est métamorphosée, mardi soir, en salle obscure à ciel ouvert. Le sable, les embruns et le ciel d’Harhoura ont servi d’écrin à la 6e édition du Festival Ciné-Plage, organisée par l’Association marocaine des arts sans frontières (AMAF). Cet événement, désormais incontournable, conjugue la beauté du littoral atlantique à l’effervescence du cinéma marocain, offrant au public une rencontre singulière entre nature et art.
Hommages appuyés à des figures du théâtre et du cinéma
Dès l’ouverture, la soirée a pris les accents d’une célébration empreinte de reconnaissance. Le réalisateur et comédien Hamid Zoghi ainsi que l’actrice Saadia Laadib ont été mis à l’honneur. Dans son allocution, Hamid Zoghi a rappelé le rôle vital de ces rendez-vous culturels : véritables passerelles entre créateurs et spectateurs.
L’acteur Mohamed Miftah a, pour sa part, souligné la trajectoire singulière de Zoghi, saluant son engagement au sein de formations artistiques aussi emblématiques que Nass El Ghiwane et Jil Jilala, piliers de la mémoire musicale et sociale du pays.
Émue, Saadia Laadib a quant à elle évoqué cet hommage comme une “consécration doublée d’une responsabilité”, rappelant son profond attachement à la ville de Harhoura et à son public.
Mémoire, musique et transmission
La cérémonie a également été ponctuée par un moment musical, porté par le violon sensible d’Amir Ali, avant de céder la place à la projection du film "Pour ne pas les oublier". Véritable fresque de mémoire, l’œuvre rend hommage à plusieurs personnalités disparues récemment, dont le journaliste Ali Hassan, le producteur Mehdi Belkhayat, l’acteur Mohamed Choubi ou encore l’actrice Naïma Bouhmala.
À travers ce film, le festival a affirmé son rôle : non seulement vitrine du cinéma, mais aussi gardien des héritages et des voix qui ont façonné l’imaginaire collectif marocain.
Hommages appuyés à des figures du théâtre et du cinéma
Dès l’ouverture, la soirée a pris les accents d’une célébration empreinte de reconnaissance. Le réalisateur et comédien Hamid Zoghi ainsi que l’actrice Saadia Laadib ont été mis à l’honneur. Dans son allocution, Hamid Zoghi a rappelé le rôle vital de ces rendez-vous culturels : véritables passerelles entre créateurs et spectateurs.
L’acteur Mohamed Miftah a, pour sa part, souligné la trajectoire singulière de Zoghi, saluant son engagement au sein de formations artistiques aussi emblématiques que Nass El Ghiwane et Jil Jilala, piliers de la mémoire musicale et sociale du pays.
Émue, Saadia Laadib a quant à elle évoqué cet hommage comme une “consécration doublée d’une responsabilité”, rappelant son profond attachement à la ville de Harhoura et à son public.
Mémoire, musique et transmission
La cérémonie a également été ponctuée par un moment musical, porté par le violon sensible d’Amir Ali, avant de céder la place à la projection du film "Pour ne pas les oublier". Véritable fresque de mémoire, l’œuvre rend hommage à plusieurs personnalités disparues récemment, dont le journaliste Ali Hassan, le producteur Mehdi Belkhayat, l’acteur Mohamed Choubi ou encore l’actrice Naïma Bouhmala.
À travers ce film, le festival a affirmé son rôle : non seulement vitrine du cinéma, mais aussi gardien des héritages et des voix qui ont façonné l’imaginaire collectif marocain.












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