Le Festival de la musique arabe du Caire a annoncé, lors d’une conférence de presse dans la capitale égyptienne, une série de distinctions en hommage à des figures majeures de la scène musicale arabe. Parmi elles, la défunte artiste marocaine Naïma Samih, célébrée pour sa carrière exceptionnelle et sa contribution déterminante au rayonnement de la chanson marocaine et arabe.
Cette annonce a déclenché de nombreuses réactions au Maroc comme dans le monde arabe. Chams Eddine Belkaid, fils de Naïma Samih, est sorti de son silence pour clarifier sa position. Dans une publication sur son compte Facebook, il a indiqué ne pas être prêt psychologiquement à accepter, pour l’instant, un hommage posthume à sa mère, dont la disparition demeure “une blessure profonde” pour lui.
Tout en exprimant sa gratitude à tous ceux qui ont proposé ou envisagé d’organiser une cérémonie d’hommage, Belkaid a rappelé que le geste de reconnaissance “est avant tout un témoignage d’amour et d’estime envers une personne qui a laissé une empreinte indélébile”. Il a particulièrement remercié la République arabe d’Égypte et l’Opéra du Caire pour leur initiative, ainsi que des institutions et artistes de pays frères, notamment le Koweït, la Tunisie, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, sans oublier des partenaires en Europe, pour leurs marques de considération.
Les organisateurs du festival ont, de leur côté, souligné que “la Dame du tarab marocain” figure parmi les voix les plus influentes de la seconde moitié du XXe siècle. Des titres emblématiques comme “Jrit w Jarit” et “Amri B’Allah” demeurent ancrés dans la mémoire du public marocain et arabe, attestant de la puissance émotionnelle et de la portée artistique de son répertoire.
Chams Eddine Belkaid a par ailleurs réaffirmé sa vigilance quant à l’usage du nom et de l’héritage de sa mère. Il a déjà averti qu’il entreprendrait les démarches juridiques nécessaires contre toute entité organisant des hommages ou événements au nom de Naïma Samih sans consultation et accord préalables, rappelant qu’il est le responsable légal de la protection des droits moraux et artistiques de la défunte.
Figure majeure de la chanson marocaine moderne, Naïma Samih a bâti, sur plusieurs décennies, une œuvre qui a profondément marqué les cœurs au Maroc et dans le monde arabe. En 1977, elle est devenue la troisième artiste arabe à se produire sur la scène mythique de l’Olympia à Paris, après Oum Kalthoum et Fayrouz, une étape charnière de sa carrière et un symbole de son rayonnement international.
Cette annonce a déclenché de nombreuses réactions au Maroc comme dans le monde arabe. Chams Eddine Belkaid, fils de Naïma Samih, est sorti de son silence pour clarifier sa position. Dans une publication sur son compte Facebook, il a indiqué ne pas être prêt psychologiquement à accepter, pour l’instant, un hommage posthume à sa mère, dont la disparition demeure “une blessure profonde” pour lui.
Tout en exprimant sa gratitude à tous ceux qui ont proposé ou envisagé d’organiser une cérémonie d’hommage, Belkaid a rappelé que le geste de reconnaissance “est avant tout un témoignage d’amour et d’estime envers une personne qui a laissé une empreinte indélébile”. Il a particulièrement remercié la République arabe d’Égypte et l’Opéra du Caire pour leur initiative, ainsi que des institutions et artistes de pays frères, notamment le Koweït, la Tunisie, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, sans oublier des partenaires en Europe, pour leurs marques de considération.
Les organisateurs du festival ont, de leur côté, souligné que “la Dame du tarab marocain” figure parmi les voix les plus influentes de la seconde moitié du XXe siècle. Des titres emblématiques comme “Jrit w Jarit” et “Amri B’Allah” demeurent ancrés dans la mémoire du public marocain et arabe, attestant de la puissance émotionnelle et de la portée artistique de son répertoire.
Chams Eddine Belkaid a par ailleurs réaffirmé sa vigilance quant à l’usage du nom et de l’héritage de sa mère. Il a déjà averti qu’il entreprendrait les démarches juridiques nécessaires contre toute entité organisant des hommages ou événements au nom de Naïma Samih sans consultation et accord préalables, rappelant qu’il est le responsable légal de la protection des droits moraux et artistiques de la défunte.
Figure majeure de la chanson marocaine moderne, Naïma Samih a bâti, sur plusieurs décennies, une œuvre qui a profondément marqué les cœurs au Maroc et dans le monde arabe. En 1977, elle est devenue la troisième artiste arabe à se produire sur la scène mythique de l’Olympia à Paris, après Oum Kalthoum et Fayrouz, une étape charnière de sa carrière et un symbole de son rayonnement international.












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