Entre 2015 et 2025, la politique salariale de l’État a connu plusieurs cycles de revalorisation.
Ces hausses résultent principalement des promotions de grade et des augmentations salariales décidées dans le cadre du dialogue social mené par le gouvernement avec les centrales syndicales.
Le salaire minimum dans la fonction publique a lui aussi été relevé à plusieurs reprises : de 3.000 dirhams en 2015 à 4.500 dirhams en 2025. Cette évolution progressive — 3.258 DH en 2020, 3.500 DH en 2023, 4.000 DH en 2024
Cette évolution s’inscrit dans une stratégie plus large de revalorisation des carrières dans la fonction publique, particulièrement dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’administration territoriale, qui concentrent l’essentiel des effectifs.
La répartition des salaires montre une concentration marquée autour des tranches intermédiaires.
Cette distribution témoigne d’une structure salariale globalement équilibrée, où la majorité des effectifs demeure concentrée dans les classes moyennes de rémunération.
Les écarts de revenus restent toutefois sensibles selon les catégories professionnelles.
Personnel d’exécution (échelle 6 et assimilés) : 5.925 dirhams en moyenne ;
Personnel de maîtrise (échelles 7 à 9) : 7.238 dirhams ;
Cadres et cadres supérieurs (échelle 10 et plus) : 12.484 dirhams.
Cette hiérarchie reflète la progression des carrières dans l’administration, où la rémunération croît avec le niveau de responsabilité, l’ancienneté et la qualification.
Le salaire minimum dans la fonction publique a lui aussi été relevé à plusieurs reprises : de 3.000 dirhams en 2015 à 4.500 dirhams en 2025. Cette évolution progressive — 3.258 DH en 2020, 3.500 DH en 2023, 4.000 DH en 2024
Cette évolution s’inscrit dans une stratégie plus large de revalorisation des carrières dans la fonction publique, particulièrement dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’administration territoriale, qui concentrent l’essentiel des effectifs.
La répartition des salaires montre une concentration marquée autour des tranches intermédiaires.
71,3 % des fonctionnaires perçoivent un revenu compris entre 6.000 et 14.000 dirhams par mois.Les salaires les plus bas — entre 4.500 et 6.000 dirhams — concernent environ 10 % des fonctionnaires civils, principalement les personnels d’exécution.
4,8 % des agents bénéficient d’un salaire supérieur à 20.000 dirhams
38,4 % touchent un revenu net inférieur ou égal à 8.000 dirhams.
Cette distribution témoigne d’une structure salariale globalement équilibrée, où la majorité des effectifs demeure concentrée dans les classes moyennes de rémunération.
Les écarts de revenus restent toutefois sensibles selon les catégories professionnelles.
Personnel d’exécution (échelle 6 et assimilés) : 5.925 dirhams en moyenne ;
Personnel de maîtrise (échelles 7 à 9) : 7.238 dirhams ;
Cadres et cadres supérieurs (échelle 10 et plus) : 12.484 dirhams.
Cette hiérarchie reflète la progression des carrières dans l’administration, où la rémunération croît avec le niveau de responsabilité, l’ancienneté et la qualification.












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