Les autorités de Gaza ont annoncé que le bilan des victimes a dépassé les 62.000 morts depuis le début du conflit, avec des frappes israéliennes récentes visant des civils et des demandeurs d'aide. Ces attaques touchent des zones habitées et des points de distribution humanitaire, aggravant la crise. Le bilan est provisoire et susceptible d'évoluer, basé sur des rapports locaux.

Globalement, ce conflit met en lumière une crise humanitaire majeure, avec des impacts sur la géopolitique au Moyen-Orient et des appels internationaux à un cessez-le-feu. Pour nous au Maroc, ça compte : notre pays soutient historiquement la cause palestinienne, avec des manifestations régulières à Rabat ou Casa. Ça touche notre diplomatie, surtout après la normalisation avec Israël en 2020, et affecte la diaspora marocaine en Europe sensible à ces enjeux. C'est un rappel de nos liens culturels et solidaires avec la Palestine.

Les réseaux sociaux explosent avec #GazaUnderAttack, des appels à l'aide de la part d'ONG comme l'ONU. Pas de citation officielle immédiate, mais des figures publiques marocaines, comme des activistes, expriment leur solidarité. Les marchés mondiaux restent stables, mais la tension géopolitique monte. Sur Twitter, des jeunes Marocains partagent des stories pour sensibiliser, comme pendant nos manifs locales.

Possible hausse des tensions diplomatiques, avec des appels à boycotter ou des manifs qui pourraient perturber le tourisme. Moyen terme : Ça influence nos relations avec Israël (échanges économiques), et renforce notre rôle en Afrique via la Ligue arabe. Pour la diaspora MRE, c'est un sujet sensible qui booste la mobilisation communautaire.