Un prisonnier politique sous pression internationale
Après quatre décennies passées derrière les barreaux, Georges Ibrahim Abdallah va enfin retrouver la liberté. La cour d'appel de Paris a ordonné, ce jeudi, sa libération conditionnelle. Un événement historique, salué par tous ceux qui voient en lui un symbole de la lutte contre l’oppression et l’ingérence étrangère au Liban.
Qui est Georges Abdallah ? Pour certains médias occidentaux, c’est un “terroriste”. Pour beaucoup d’autres, surtout dans le monde arabe, il incarne la résistance. Arrêté en 1984, condamné à perpétuité en 1987 pour son implication dans l’assassinat de diplomates israéliens et américains à Paris, Abdallah est devenu au fil du temps le plus ancien prisonnier politique d’Europe occidentale.
Sa détention a toujours été marquée par les pressions politiques, notamment des États-Unis et d’Israël, qui ont tout fait pour empêcher sa libération. Plusieurs demandes de libération conditionnelle ont été refusées, malgré l’avis favorable de magistrats français. Aujourd’hui, la justice française a enfin plié, reconnaissant – même tardivement – que 40 ans de prison, c’est trop, même pour un homme qui n’a jamais renié ses convictions.
La question qui dérange : Georges Abdallah a-t-il été maintenu en prison pour des raisons purement politiques ? La réponse est évidente pour beaucoup : oui. Parce qu’il n’a jamais trahi ses idéaux, parce qu’il a toujours refusé de collaborer avec ses geôliers, il a payé le prix fort.
Sa libération est donc une victoire, non seulement pour lui, mais pour tous les militants qui refusent de se plier à la loi du plus fort. C’est aussi un message fort envoyé aux jeunes générations : la résistance, même dans l’ombre, finit toujours par porter ses fruits.
Au Liban, la nouvelle a été accueillie comme une fête nationale. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #FreeGeorgesAbdallah et #RésistanceLibanaise explosent. Des militants, des étudiants, mais aussi de simples citoyens saluent la ténacité d’un homme devenu, malgré lui, un symbole de la dignité arabe face à l’arrogance occidentale.
Impossible de parler de Georges Abdallah sans évoquer la Palestine. Toute sa vie, il a défendu la cause palestinienne, dénoncé l’occupation, et soutenu les mouvements de libération. Sa libération, c’est aussi une victoire pour tous ceux qui refusent d’oublier la Palestine, malgré la répression, malgré l’oubli médiatique.
Pour la jeunesse marocaine et arabe, l’histoire de Georges Abdallah rappelle que la résistance n’est pas un mot creux. C’est un engagement, parfois payé au prix fort, mais qui finit par triompher. Aujourd’hui, alors que tant de voix sont étouffées, que tant de militants sont emprisonnés, la libération d’Abdallah donne de l’espoir et du courage à toute une génération.
La France a-t-elle vraiment tourné la page ? Le combat pour la justice et la dignité continue, au Liban comme ailleurs. Georges Abdallah, lui, sort la tête haute, fidèle à ses principes. Sa libération est une victoire, mais aussi un rappel : la solidarité, la lutte et l’engagement ne meurent jamais.
Qui est Georges Abdallah ? Pour certains médias occidentaux, c’est un “terroriste”. Pour beaucoup d’autres, surtout dans le monde arabe, il incarne la résistance. Arrêté en 1984, condamné à perpétuité en 1987 pour son implication dans l’assassinat de diplomates israéliens et américains à Paris, Abdallah est devenu au fil du temps le plus ancien prisonnier politique d’Europe occidentale.
Sa détention a toujours été marquée par les pressions politiques, notamment des États-Unis et d’Israël, qui ont tout fait pour empêcher sa libération. Plusieurs demandes de libération conditionnelle ont été refusées, malgré l’avis favorable de magistrats français. Aujourd’hui, la justice française a enfin plié, reconnaissant – même tardivement – que 40 ans de prison, c’est trop, même pour un homme qui n’a jamais renié ses convictions.
La question qui dérange : Georges Abdallah a-t-il été maintenu en prison pour des raisons purement politiques ? La réponse est évidente pour beaucoup : oui. Parce qu’il n’a jamais trahi ses idéaux, parce qu’il a toujours refusé de collaborer avec ses geôliers, il a payé le prix fort.
Sa libération est donc une victoire, non seulement pour lui, mais pour tous les militants qui refusent de se plier à la loi du plus fort. C’est aussi un message fort envoyé aux jeunes générations : la résistance, même dans l’ombre, finit toujours par porter ses fruits.
Au Liban, la nouvelle a été accueillie comme une fête nationale. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #FreeGeorgesAbdallah et #RésistanceLibanaise explosent. Des militants, des étudiants, mais aussi de simples citoyens saluent la ténacité d’un homme devenu, malgré lui, un symbole de la dignité arabe face à l’arrogance occidentale.
Impossible de parler de Georges Abdallah sans évoquer la Palestine. Toute sa vie, il a défendu la cause palestinienne, dénoncé l’occupation, et soutenu les mouvements de libération. Sa libération, c’est aussi une victoire pour tous ceux qui refusent d’oublier la Palestine, malgré la répression, malgré l’oubli médiatique.
Pour la jeunesse marocaine et arabe, l’histoire de Georges Abdallah rappelle que la résistance n’est pas un mot creux. C’est un engagement, parfois payé au prix fort, mais qui finit par triompher. Aujourd’hui, alors que tant de voix sont étouffées, que tant de militants sont emprisonnés, la libération d’Abdallah donne de l’espoir et du courage à toute une génération.
La France a-t-elle vraiment tourné la page ? Le combat pour la justice et la dignité continue, au Liban comme ailleurs. Georges Abdallah, lui, sort la tête haute, fidèle à ses principes. Sa libération est une victoire, mais aussi un rappel : la solidarité, la lutte et l’engagement ne meurent jamais.












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