Du 13 novembre au 27 décembre 2025, la galerie Shart présente l’exposition de sculptures de l'artiste Monia Abdelali, intitulée « Graceland ». Cette exposition offre une plongée poétique et politique dans les complexités de la modernité, avec une touche psychédélique.
Ne vous laissez pas tromper par les premières impressions ! Bien que « Graceland » soit éclatante, elle met en lumière des vérités que le monde préfère dissimuler. À travers cette exposition-manifeste, Monia Abdelali appelle à un retour aux valeurs fondamentales : l’humanité, la nature, la justice et la paix.
Influencée par les courants du street art, de la pop et de l’art contemporain américain, Monia Abdelali développe une signature plastique originale qui interpelle le spectateur tant par la forme que par le fond. Ses œuvres, un savant mélange de matières, de formes et de tailles, occupent l’espace et stimulent l’esprit.
Ne vous laissez pas tromper par les premières impressions ! Bien que « Graceland » soit éclatante, elle met en lumière des vérités que le monde préfère dissimuler. À travers cette exposition-manifeste, Monia Abdelali appelle à un retour aux valeurs fondamentales : l’humanité, la nature, la justice et la paix.
Influencée par les courants du street art, de la pop et de l’art contemporain américain, Monia Abdelali développe une signature plastique originale qui interpelle le spectateur tant par la forme que par le fond. Ses œuvres, un savant mélange de matières, de formes et de tailles, occupent l’espace et stimulent l’esprit.
Flamboyance Sculptée
Dans « Graceland », le figuratif devient un concept. Les formes familières de la faune, de la flore, du corps ou des objets véhiculent une réflexion profonde sur la condition humaine et interrogent le futur de notre espèce et de la planète. Les matériaux se combinent avec une harmonie presque naturelle : le métal s’unit au bois, le plâtre se mêle au plastique, et le papier enroule les sculptures, créant un dialogue maîtrisé sous le regard attentif de l’artiste.
La couleur joue un rôle central dans cette exposition. Elle se déploie en tons primaires, éclatante et libérée des conventions contemporaines. Sous des apparences pop, parfois enfantines, elle incarne la vitalité que revendique l’artiste. Plus qu’un simple effet esthétique, la couleur devient une arme de résistance contre l’uniformisation de l’homme moderne.
Identités Salvatrices
Après deux années de travail jalonnées de doutes et de remises en question, Monia Abdelali présente un travail à la fois impulsif et réfléchi. « Graceland » se veut un cri d’alerte sur l’avenir de l’humanité, tout en nourrissant l’espoir que la nature puisse reprendre ses droits. Sans être une écologiste radicale, elle critique les excès de l’homme tout en l’incluant dans son utopie. L’humain apparaît dans plusieurs sculptures, non pas comme le dominateur, mais comme un invité fragile dans un nouvel équilibre mondial.
« Je suis arabe, musulmane, africaine, tiers-mondiste et de sexe féminin », déclare l’artiste.
Ces identités ne se limitent pas à des étiquettes sociales, mais deviennent un point de départ pour interroger les hiérarchies de la société moderne. Elles soulèvent également des questions sur la manière dont l’homme s’arroge le contrôle sur la nature. La sculpture « Humain intelligence » porte sur son dos la citation de Diogène : « Ôte-toi de mon soleil ! », à laquelle pourrait s’ajouter « Ôte-toi de ma planète » dans le contexte de cette exposition.
La couleur joue un rôle central dans cette exposition. Elle se déploie en tons primaires, éclatante et libérée des conventions contemporaines. Sous des apparences pop, parfois enfantines, elle incarne la vitalité que revendique l’artiste. Plus qu’un simple effet esthétique, la couleur devient une arme de résistance contre l’uniformisation de l’homme moderne.
Identités Salvatrices
Après deux années de travail jalonnées de doutes et de remises en question, Monia Abdelali présente un travail à la fois impulsif et réfléchi. « Graceland » se veut un cri d’alerte sur l’avenir de l’humanité, tout en nourrissant l’espoir que la nature puisse reprendre ses droits. Sans être une écologiste radicale, elle critique les excès de l’homme tout en l’incluant dans son utopie. L’humain apparaît dans plusieurs sculptures, non pas comme le dominateur, mais comme un invité fragile dans un nouvel équilibre mondial.
« Je suis arabe, musulmane, africaine, tiers-mondiste et de sexe féminin », déclare l’artiste.
Ces identités ne se limitent pas à des étiquettes sociales, mais deviennent un point de départ pour interroger les hiérarchies de la société moderne. Elles soulèvent également des questions sur la manière dont l’homme s’arroge le contrôle sur la nature. La sculpture « Humain intelligence » porte sur son dos la citation de Diogène : « Ôte-toi de mon soleil ! », à laquelle pourrait s’ajouter « Ôte-toi de ma planète » dans le contexte de cette exposition.












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