Interrogé sur ses chances de conserver sa couronne, le Néerlandais a affirmé : « Je peux oublier cela. Vu d’où on va partir dimanche, cela ne pourra pas marcher. Avec ce type de performance, je peux oublier cela. »
Quelques heures plus tôt, Verstappen avait limité la casse en prenant la quatrième place de la course sprint, remportée par le Britannique Lando Norris (McLaren), qui le devance désormais de 39 points au championnat.
« C’était très mauvais. Je ne pouvais pas pousser du tout, la voiture glissait partout. J’ai dû lever le pied pour ne pas risquer une sortie de piste. Cela ne peut pas fonctionner en qualifications », a-t-il déploré sur Sky Sports. Selon lui, les changements de réglages effectués sur la voiture n’ont pas porté leurs fruits : « Elle ne répondait pas et je n’avais aucune adhérence. »
Du côté de l’écurie, le directeur français de Red Bull, Laurent Mekies, a reconnu avoir pris des risques avant les qualifications, expliquant que cela avait contribué à cette contre-performance. « Nous n’étions pas satisfaits de la voiture depuis notre arrivée ici. Nous avons pris plus de risques pour améliorer sa position, mais cela a eu l’effet inverse. C’est douloureux, mais une expérience dont nous pouvons tirer des leçons et nous améliorer », a-t-il expliqué.
Le Grand Prix du Brésil s’annonce donc comme un véritable défi pour Verstappen, qui partira depuis une position défavorable dimanche.












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