La glycémie : carburant du cerveau et du muscle
- La glycémie (taux de sucre dans le sang) est le principal moteur énergétique du joueur.
- Trop basse (hypoglycémie) : le cerveau se brouille, la concentration s’effondre, les réflexes ralentissent.
- Trop élevée (hyperglycémie) : la fatigue s’installe, les muscles deviennent paresseux, la déshydratation menace.
- Chez un footballeur d’élite, la glycémie doit rester stable avant, pendant et après le match.
- Un simple oubli de repas, une boisson énergétique mal dosée, ou un stress intense peut dérégler cette fine mécanique.
Le résultat ?
Des erreurs techniques, une baisse de lucidité, et parfois même une perte de connaissance sur le terrain.
- Trop basse (hypoglycémie) : le cerveau se brouille, la concentration s’effondre, les réflexes ralentissent.
- Trop élevée (hyperglycémie) : la fatigue s’installe, les muscles deviennent paresseux, la déshydratation menace.
- Chez un footballeur d’élite, la glycémie doit rester stable avant, pendant et après le match.
- Un simple oubli de repas, une boisson énergétique mal dosée, ou un stress intense peut dérégler cette fine mécanique.
Le résultat ?
Des erreurs techniques, une baisse de lucidité, et parfois même une perte de connaissance sur le terrain.
Les hormones : les chefs d’orchestre invisibles du corps
Les hormones agissent comme des chefs d’orchestre. Parmi elles :
- L’insuline, qui régule le sucre sanguin.
- Le cortisol, hormone du stress, dont l’excès fatigue les muscles et affaiblit le système immunitaire.
- La testostérone, qui favorise la récupération et la force musculaire.
- Les hormones thyroïdiennes, qui contrôlent la température, l’énergie et la concentration.
- Une simple variation hormonale peut transformer un joueur explosif en athlète lent et irritable.
- Les clubs de haut niveau réalisent aujourd’hui des bilans hormonaux mensuels pour prévenir ces dérèglements.
- L’insuline, qui régule le sucre sanguin.
- Le cortisol, hormone du stress, dont l’excès fatigue les muscles et affaiblit le système immunitaire.
- La testostérone, qui favorise la récupération et la force musculaire.
- Les hormones thyroïdiennes, qui contrôlent la température, l’énergie et la concentration.
- Une simple variation hormonale peut transformer un joueur explosif en athlète lent et irritable.
- Les clubs de haut niveau réalisent aujourd’hui des bilans hormonaux mensuels pour prévenir ces dérèglements.
Quand la négligence coûte cher : quatre cas emblématiques
1. Ronaldo Nazário – Le monstre brésilien freiné par sa thyroïde
Légende vivante, Ronaldo a longtemps souffert sans le savoir d’une hypothyroïdie, trouble hormonal ralentissant le métabolisme et provoquant une prise de poids rapide.
Diagnostiqué tardivement, ce dérèglement a altéré sa condition physique à la fin de sa carrière. Lui-même l’a reconnu : « Je mangeais comme avant, mais je grossissais sans comprendre. »
2. Diego Maradona – L’esclave du sucre et des excès
Génie du football argentin, Maradona souffrait d’un diabète de type 2 aggravé par une alimentation anarchique et des abus répétés.
Ses variations de glycémie ont fragilisé son système cardiovasculaire, contribuant à son déclin prématuré. Son médecin personnel disait : « Il avait un pied d’or et un pancréas fatigué. »
3. Karim Benzema – Leçon de maîtrise glycémique
À l’inverse, Benzema incarne la discipline biologique et hormonal. Son régime strict, pauvre en sucres rapides, et son suivi endocrinien régulier ont prolongé sa longévité sportive.
Il est l’exemple de ce que la maîtrise de la glycémie et des hormones peut offrir : constance, récupération rapide et longévité athlétique.
4. Eden Hazard – L’explosion du sucre et la chute du talent
Talent pur, Eden Hazard a reconnu avoir pris plusieurs kilos après son transfert au Real Madrid. Le manque de contrôle glycémique et une hygiène alimentaire déséquilibrée ont provoqué des blessures répétées et une perte de vitesse.
Résultat : une carrière freinée au moment même où elle devait atteindre son apogée.
La science au service du jeu :
Un joueur qui connaît sa biologie et son horloge hormonale connaît ses limites et donc ses chances de succès.
Car la victoire, avant d’être tactique ou technique, commence dans le sang.
Légende vivante, Ronaldo a longtemps souffert sans le savoir d’une hypothyroïdie, trouble hormonal ralentissant le métabolisme et provoquant une prise de poids rapide.
Diagnostiqué tardivement, ce dérèglement a altéré sa condition physique à la fin de sa carrière. Lui-même l’a reconnu : « Je mangeais comme avant, mais je grossissais sans comprendre. »
2. Diego Maradona – L’esclave du sucre et des excès
Génie du football argentin, Maradona souffrait d’un diabète de type 2 aggravé par une alimentation anarchique et des abus répétés.
Ses variations de glycémie ont fragilisé son système cardiovasculaire, contribuant à son déclin prématuré. Son médecin personnel disait : « Il avait un pied d’or et un pancréas fatigué. »
3. Karim Benzema – Leçon de maîtrise glycémique
À l’inverse, Benzema incarne la discipline biologique et hormonal. Son régime strict, pauvre en sucres rapides, et son suivi endocrinien régulier ont prolongé sa longévité sportive.
Il est l’exemple de ce que la maîtrise de la glycémie et des hormones peut offrir : constance, récupération rapide et longévité athlétique.
4. Eden Hazard – L’explosion du sucre et la chute du talent
Talent pur, Eden Hazard a reconnu avoir pris plusieurs kilos après son transfert au Real Madrid. Le manque de contrôle glycémique et une hygiène alimentaire déséquilibrée ont provoqué des blessures répétées et une perte de vitesse.
Résultat : une carrière freinée au moment même où elle devait atteindre son apogée.
La science au service du jeu :
Un joueur qui connaît sa biologie et son horloge hormonale connaît ses limites et donc ses chances de succès.
Car la victoire, avant d’être tactique ou technique, commence dans le sang.
La biologie, le 12ᵉ homme de l’équipe
La gestion de la glycémie et des hormones n’est pas une option : c’est une composante essentielle de la performance moderne.
Les muscles et la motivation peuvent gagner un match, mais seule une biologie équilibrée peut bâtir une carrière durable.
Au fond, la science et le football jouent le même jeu : anticiper, équilibrer et gagner — sans perdre l’humain.
Par Dr Anwar Cherkaoui
Les muscles et la motivation peuvent gagner un match, mais seule une biologie équilibrée peut bâtir une carrière durable.
Au fond, la science et le football jouent le même jeu : anticiper, équilibrer et gagner — sans perdre l’humain.
Par Dr Anwar Cherkaoui












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