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Par El Montacir Bensaid
Je fête aujourd’hui mon anniversaire et je trouve opportun de publier ce post dont le contenu et la philosophie avaient envahi mon esprit depuis quelques jours.
Je me suis longtemps demandé à quoi servait l’âge, le passage du temps, notre temps !
Ce vieillissement qui s’avance à grands pas, jours après jours, n’épargnant personne.
Passager clandestin d’un univers, merveilleux, qui nous dépasse, d’une réalité à peine devinée.
Puis j’ai compris et accepté mon destin :
Nous naissons pour partir, un jour, inéluctablement, mais pas en vain !
Nous avons à l’automne de notre vie, les sens apaisés, la sagesse aidant, un rôle de transmission à jouer.
On a tout connu, les joies, les peines, les amours sincères et les autres sans gloire.
On a rencontré les âmes pures et celles teintées de noir.
On s’est battu, débattu.
On a gagné.
On a perdu.
L’écho de nos jeunes années transparaît à travers nos paroles, nos dires, nos mots à peine calmés.
Ni la sagesse, ni l’intelligence ou la science infuse ne sont l’apanage des cheveux blancs, par contre l’expérience l’est.
Je me suis longtemps demandé à quoi servait l’âge, le passage du temps, notre temps !
Ce vieillissement qui s’avance à grands pas, jours après jours, n’épargnant personne.
Passager clandestin d’un univers, merveilleux, qui nous dépasse, d’une réalité à peine devinée.
Puis j’ai compris et accepté mon destin :
Nous naissons pour partir, un jour, inéluctablement, mais pas en vain !
Nous avons à l’automne de notre vie, les sens apaisés, la sagesse aidant, un rôle de transmission à jouer.
On a tout connu, les joies, les peines, les amours sincères et les autres sans gloire.
On a rencontré les âmes pures et celles teintées de noir.
On s’est battu, débattu.
On a gagné.
On a perdu.
L’écho de nos jeunes années transparaît à travers nos paroles, nos dires, nos mots à peine calmés.
Ni la sagesse, ni l’intelligence ou la science infuse ne sont l’apanage des cheveux blancs, par contre l’expérience l’est.
Prenez-en de la graine, filtrer, digérer, rejeter ou accepter le parcours des autres.
Votre libre arbitre, votre esprit voire votre âme, feront le reste.
Ne laissez rien, profitez de tout, soyez joyeux, soyez curieux, ayez de l’empathie, riez, pleurez quand il le faut, étalez vos sentiments, déclarez votre flamme, aimez et faites-vous aimer.
Soyez heureux !
Le monde est beau, la nature généreuse et la vie est tellement, tellement courte.
Ne la gâchez donc pas en vaines disputes, en polémiques incessantes, en haines indécentes !
Apprenez à gérer le bonheur, vous les filles, vous les garçons !
Apprenez le pardon et la générosité du pardon !
Vivez, vivez !
La vie est un chapelet dont chaque grain que nous faisons glisser est perdu à jamais et ne reviendra pas.
Rédigé par El Montacir Bensaid
Votre libre arbitre, votre esprit voire votre âme, feront le reste.
Ne laissez rien, profitez de tout, soyez joyeux, soyez curieux, ayez de l’empathie, riez, pleurez quand il le faut, étalez vos sentiments, déclarez votre flamme, aimez et faites-vous aimer.
Soyez heureux !
Le monde est beau, la nature généreuse et la vie est tellement, tellement courte.
Ne la gâchez donc pas en vaines disputes, en polémiques incessantes, en haines indécentes !
Apprenez à gérer le bonheur, vous les filles, vous les garçons !
Apprenez le pardon et la générosité du pardon !
Vivez, vivez !
La vie est un chapelet dont chaque grain que nous faisons glisser est perdu à jamais et ne reviendra pas.
Rédigé par El Montacir Bensaid
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