Selon Machuel, l'avènement de l'IA générative, symbolisé par des pionniers tels que ChatGPT, pourrait bien être la plus grande révolution depuis des décennies. En examinant le futur du travail, il souligne que l'équilibre délicat entre la destruction et la création d'emplois reste incertain, mais l'histoire du passé, avec l'Internet et la digitalisation, laisse présager une certaine stabilité.

La technologie, en augmentant la productivité, entraînera une réorganisation des tâches professionnelles. L'IA générative injectera une abondance de données, offrant de nouvelles perspectives sur les interactions humaines, les marchés, les produits et services. Pour gérer cette complexité, une chose est certaine : nous aurons besoin de plus de gens, de nouvelles compétences, et de nouveaux emplois.

Là où le suspense atteint son paroxysme, Machuel évoque le sort des cols blancs, suggérant que ceux liés à la gestion d'informations massives pourraient être plus perturbés à court terme. Pourtant, il tempère cette vision en soulignant que les compétences liées aux relations, à la réflexion stratégique et à la résolution de problèmes resteront ancrées dans le domaine humain.

Le moment déconcertant survient lorsqu'il expose comment Adecco elle-même adopte l'IA de manière innovante. Un partenariat avec Microsoft a donné naissance à une plateforme de carrière révolutionnaire, conseillant entreprises et travailleurs, et révélant des opportunités inattendues basées sur les compétences. Des outils de génération de CV par IA et des chatbots ultra-performants viennent libérer les recruteurs des tâches routinières, libérant du temps pour l'essentiel : les contacts humains.

L'ODJ avec Yahoo.