Pourquoi le Maroc stagne dans l’Indice de Développement Humain ?
Coup dur pour le Maroc ! Selon le dernier rapport du PNUD, le Royaume se classe 120e sur 193 pays dans l'Indice de Développement Humain (IDH) 2025. Un classement qui reflète des défis persistants en matière de pauvreté, d’éducation et d’inégalités de genre.
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a publié son rapport annuel sur l’Indice de Développement Humain (IDH), un baromètre mondial qui évalue la qualité de vie des populations à travers trois critères principaux : la santé, l’éducation et le revenu. En 2025, le Maroc stagne à la 120e place, loin derrière ses voisins régionaux comme l’Algérie (91e) et la Tunisie (95e).
Ce classement met en lumière les faiblesses structurelles du pays, notamment en matière de lutte contre la pauvreté multidimensionnelle, l’accès à une éducation de qualité et les inégalités de genre, qui continuent de freiner son développement global.
Pourquoi c’est important ? L’IDH est bien plus qu’un simple classement : il reflète le bien-être des citoyens et leur accès à des opportunités fondamentales. Ce résultat montre que, malgré des efforts dans certains domaines comme les infrastructures ou les réformes sociales, le Maroc peine à réduire les écarts sociaux et économiques.
Les inégalités de genre restent particulièrement préoccupantes : des millions de femmes marocaines continuent de faire face à des barrières dans l’accès à l’éducation, au marché du travail et aux droits fondamentaux. De plus, la pauvreté multidimensionnelle – qui inclut des facteurs comme le logement, l’accès à l’eau potable et la santé – reste un défi majeur, surtout dans les zones rurales.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce du classement a suscité une vague de réactions. Sur Twitter, des hashtags comme #IDHMaroc2025 et #DéveloppementStagnant sont devenus viraux. "Comment peut-on avancer si l’éducation et la santé ne sont pas des priorités ?", s’interroge un internaute.
Du côté des experts, certains appellent à des réformes plus profondes. "Le Maroc doit investir davantage dans le capital humain. Ce n’est pas qu’une question de budget, mais de priorités stratégiques", souligne un économiste basé à Rabat.
Les autorités, de leur côté, n’ont pas encore réagi officiellement, mais des voix au sein de la société civile appellent à un débat national sur les politiques publiques pour inverser la tendance.
Ce classement est un signal d’alarme. Pour améliorer son IDH, le Maroc devra relever des défis de taille : réduire les inégalités, renforcer l’éducation et améliorer les conditions de vie des plus vulnérables. La question est claire : le Royaume saura-t-il transformer cette stagnation en opportunité de changement ?
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a publié son rapport annuel sur l’Indice de Développement Humain (IDH), un baromètre mondial qui évalue la qualité de vie des populations à travers trois critères principaux : la santé, l’éducation et le revenu. En 2025, le Maroc stagne à la 120e place, loin derrière ses voisins régionaux comme l’Algérie (91e) et la Tunisie (95e).
Ce classement met en lumière les faiblesses structurelles du pays, notamment en matière de lutte contre la pauvreté multidimensionnelle, l’accès à une éducation de qualité et les inégalités de genre, qui continuent de freiner son développement global.
Pourquoi c’est important ? L’IDH est bien plus qu’un simple classement : il reflète le bien-être des citoyens et leur accès à des opportunités fondamentales. Ce résultat montre que, malgré des efforts dans certains domaines comme les infrastructures ou les réformes sociales, le Maroc peine à réduire les écarts sociaux et économiques.
Les inégalités de genre restent particulièrement préoccupantes : des millions de femmes marocaines continuent de faire face à des barrières dans l’accès à l’éducation, au marché du travail et aux droits fondamentaux. De plus, la pauvreté multidimensionnelle – qui inclut des facteurs comme le logement, l’accès à l’eau potable et la santé – reste un défi majeur, surtout dans les zones rurales.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce du classement a suscité une vague de réactions. Sur Twitter, des hashtags comme #IDHMaroc2025 et #DéveloppementStagnant sont devenus viraux. "Comment peut-on avancer si l’éducation et la santé ne sont pas des priorités ?", s’interroge un internaute.
Du côté des experts, certains appellent à des réformes plus profondes. "Le Maroc doit investir davantage dans le capital humain. Ce n’est pas qu’une question de budget, mais de priorités stratégiques", souligne un économiste basé à Rabat.
Les autorités, de leur côté, n’ont pas encore réagi officiellement, mais des voix au sein de la société civile appellent à un débat national sur les politiques publiques pour inverser la tendance.
Ce classement est un signal d’alarme. Pour améliorer son IDH, le Maroc devra relever des défis de taille : réduire les inégalités, renforcer l’éducation et améliorer les conditions de vie des plus vulnérables. La question est claire : le Royaume saura-t-il transformer cette stagnation en opportunité de changement ?












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