Benjamin Netanyahou, premier ministre israélien, a déclaré que les forces aériennes de son pays ont mené des frappes contre des installations nucléaires et militaires, qu’il a qualifiées de « préventives ».
La télévision publique iranienne a indiqué que le chef d’état-major de l’armée iranienne, Mohammed Bagheri, et le chef des Gardiens de la révolution, Hossein Salami, ont été tués lors des frappes israéliennes.
Toujours d’après les médias iraniens, trois physiciens nucléaires iraniens ont également été tués.
Le Guide suprême de l’Iran, Ali Khamenei, qui tient les Etats-Unis pour « responsables des conséquences » de cette attaque, a donné carte blanche aux forces armées iraniennes pour répondre à l’agression israélienne.
Il est à rappeler que l’Iran et les Etats-Unis mènent une série de pourparlers sur le dossier nucléaire iranien depuis le mois d’avril. Une sixième session desdits pourparlers devait même avoir lieu le 15 juin.
Depuis le retrait des Etats-Unis, en 2018, de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPOA), conclu en 2015, l’Iran s’est remise à élever le niveau d’enrichissement de l’uranium, pour atteindre 60% actuellement.
La télévision publique iranienne a indiqué que le chef d’état-major de l’armée iranienne, Mohammed Bagheri, et le chef des Gardiens de la révolution, Hossein Salami, ont été tués lors des frappes israéliennes.
Toujours d’après les médias iraniens, trois physiciens nucléaires iraniens ont également été tués.
Le Guide suprême de l’Iran, Ali Khamenei, qui tient les Etats-Unis pour « responsables des conséquences » de cette attaque, a donné carte blanche aux forces armées iraniennes pour répondre à l’agression israélienne.
Il est à rappeler que l’Iran et les Etats-Unis mènent une série de pourparlers sur le dossier nucléaire iranien depuis le mois d’avril. Une sixième session desdits pourparlers devait même avoir lieu le 15 juin.
Depuis le retrait des Etats-Unis, en 2018, de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPOA), conclu en 2015, l’Iran s’est remise à élever le niveau d’enrichissement de l’uranium, pour atteindre 60% actuellement.
Un faisceau d’indices
Après sa réélection, le président américain, Donald Trump, a relancé les négociations avec l’Iran sur le dossier nucléaire, mais en insistant pour que Téhéran renonce entièrement à l’enrichissement de l’uranium, ce que les autorités iraniennes, qui conditionnent le retour à l’application du JCPOA à une levée totale des sanctions économiques américaines qui pèsent sur l’Iran, ont catégoriquement refusé.
Ce même 12 juin, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a adopté, lors de sa réunion du Conseil des gouverneurs à Vienne, une résolution déclarant que l’Iran ne respecte pas ses obligations en matière de garanties nucléaires, avec 19 voix pour et trois contre, à savoir la Russie, la Chine et le Burkina Faso.
« Les nombreux manquements de l’Iran à ses obligations depuis 2019 de fournir à l’Agence une coopération complète et opportune concernant les matières et activités nucléaires non déclarées dans de multiples sites non déclarés en Iran… constituent un non-respect de ses obligations en vertu de son accord de garanties », indique la résolution du Conseil des gouverneurs de l’AIEA, qui a été soumise par les États-Unis, la France, la Grande Bretagne et l’Allemagne.
Ce même 12 juin, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a adopté, lors de sa réunion du Conseil des gouverneurs à Vienne, une résolution déclarant que l’Iran ne respecte pas ses obligations en matière de garanties nucléaires, avec 19 voix pour et trois contre, à savoir la Russie, la Chine et le Burkina Faso.
« Les nombreux manquements de l’Iran à ses obligations depuis 2019 de fournir à l’Agence une coopération complète et opportune concernant les matières et activités nucléaires non déclarées dans de multiples sites non déclarés en Iran… constituent un non-respect de ses obligations en vertu de son accord de garanties », indique la résolution du Conseil des gouverneurs de l’AIEA, qui a été soumise par les États-Unis, la France, la Grande Bretagne et l’Allemagne.
Echec de la diplomatie américaine
Le président Trump paraît avoir été tenu au courant des intentions israéliennes envers l’Iran. « Je ne veux pas dire que c’est imminent, mais il semble que c’est quelque chose qui pourrait très bien arriver », a déclaré Donald Trump, la veille des frappes aériennes israéliennes contre l’Iran.
Les médias américains se sont aussi fait l’écho d’une éventuelle attaque israélienne contre l’Iran. Le New York Times a rapporté, de son côté, des informations selon lesquelles de hauts responsables militaires et gouvernementaux iraniens planifiaient d’éventuelles représailles contre Israël, ciblant, entre autres, leurs installations nucléaires.
Washington a, d’ailleurs, fait évacuer du Moyen Orient leur personnel jugé non-essentiel à l’ambassade des Etats-Unis en Irak et les familles des soldats américains stationnés au Koweït et au Bahreïn.
Le premier ministre israélien aurait, donc, fini par obtenir ce qu’il a longtemps cherché : la guerre contre l’Iran, quitte à voir vitrifié tout le Moyen Orient.
Dans un prochain article, la volée de missiles hypersoniques iraniens s’abattant sur Israël, marquant l’échec de la politique contradictoire du président Trump au Moyen Orient.
Les médias américains se sont aussi fait l’écho d’une éventuelle attaque israélienne contre l’Iran. Le New York Times a rapporté, de son côté, des informations selon lesquelles de hauts responsables militaires et gouvernementaux iraniens planifiaient d’éventuelles représailles contre Israël, ciblant, entre autres, leurs installations nucléaires.
Washington a, d’ailleurs, fait évacuer du Moyen Orient leur personnel jugé non-essentiel à l’ambassade des Etats-Unis en Irak et les familles des soldats américains stationnés au Koweït et au Bahreïn.
Le premier ministre israélien aurait, donc, fini par obtenir ce qu’il a longtemps cherché : la guerre contre l’Iran, quitte à voir vitrifié tout le Moyen Orient.
Dans un prochain article, la volée de missiles hypersoniques iraniens s’abattant sur Israël, marquant l’échec de la politique contradictoire du président Trump au Moyen Orient.