Quand la culture devient miroir d’une génération
Ce choix de thématique n’est pas anodin. Le Maroc vit actuellement une période où la voix des jeunes se fait entendre de plus en plus fort, que ce soit dans la rue, sur les réseaux sociaux ou dans les milieux créatifs. L’Institut français a choisi de capter cette énergie et de la mettre en valeur à travers une programmation qui mélange spectacles, concerts, débats, expositions et performances numériques.
Plutôt que d’imposer un cadre classique, l’idée est de laisser les jeunes s’exprimer avec leurs codes, leurs formes d’art et leurs préoccupations. Résultat : une saison qui parle d’environnement, d’inclusion, de diversité, de liberté de création, mais aussi de divertissement pur, à travers la musique, la danse ou le théâtre.
Plutôt que d’imposer un cadre classique, l’idée est de laisser les jeunes s’exprimer avec leurs codes, leurs formes d’art et leurs préoccupations. Résultat : une saison qui parle d’environnement, d’inclusion, de diversité, de liberté de création, mais aussi de divertissement pur, à travers la musique, la danse ou le théâtre.
Une programmation qui casse les frontières
La saison « J-Lioum » se distingue par son éclectisme. On y retrouvera :
- Des concerts de jeunes musiciens marocains, qui mélangent hip-hop, électro, chaâbi et influences internationales.
- Des pièces de théâtre contemporaines, souvent interactives, où le public est invité à participer et à questionner la société.
- Des expositions numériques et immersives, qui plongent les visiteurs dans des univers mêlant art visuel et nouvelles technologies.
- Des rencontres et débats sur des thèmes chers à la jeunesse : climat, réseaux sociaux, identité culturelle, avenir du travail.
En réunissant autant de disciplines, l’Institut envoie un message fort : la culture n’est pas cloisonnée, elle est vivante et hybride, comme les jeunes qui la portent.
- Des concerts de jeunes musiciens marocains, qui mélangent hip-hop, électro, chaâbi et influences internationales.
- Des pièces de théâtre contemporaines, souvent interactives, où le public est invité à participer et à questionner la société.
- Des expositions numériques et immersives, qui plongent les visiteurs dans des univers mêlant art visuel et nouvelles technologies.
- Des rencontres et débats sur des thèmes chers à la jeunesse : climat, réseaux sociaux, identité culturelle, avenir du travail.
En réunissant autant de disciplines, l’Institut envoie un message fort : la culture n’est pas cloisonnée, elle est vivante et hybride, comme les jeunes qui la portent.
Des scènes dans toutes les villes
Un autre aspect marquant de « J-Lioum » est sa dimension nationale. La saison ne se limite pas à Rabat ou Casablanca : elle s’étend à toutes les antennes de l’Institut français du Maroc, de Marrakech à Fès, en passant par Meknès, Agadir et Tanger.
Cette décentralisation permet à des jeunes issus de différentes régions d’avoir accès à la programmation, mais aussi d’y participer. C’est une manière de rappeler que la jeunesse marocaine n’est pas homogène, qu’elle se nourrit de multiples identités locales, dialectes, traditions et modernités.
Cette décentralisation permet à des jeunes issus de différentes régions d’avoir accès à la programmation, mais aussi d’y participer. C’est une manière de rappeler que la jeunesse marocaine n’est pas homogène, qu’elle se nourrit de multiples identités locales, dialectes, traditions et modernités.
Une passerelle entre cultures
L’Institut français joue depuis longtemps un rôle de pont entre les cultures. Cette saison ne fait pas exception : elle propose des collaborations entre artistes marocains et internationaux, afin de confronter les regards et de multiplier les influences.
Ainsi, un jeune musicien de Casablanca pourra partager la scène avec un DJ français ou un danseur africain. Ces croisements favorisent non seulement la créativité mais aussi la reconnaissance des artistes marocains à l’international. Ils permettent aussi aux jeunes de se projeter dans des carrières artistiques globales, à une époque où les frontières sont plus que jamais ouvertes grâce au numérique.
Ainsi, un jeune musicien de Casablanca pourra partager la scène avec un DJ français ou un danseur africain. Ces croisements favorisent non seulement la créativité mais aussi la reconnaissance des artistes marocains à l’international. Ils permettent aussi aux jeunes de se projeter dans des carrières artistiques globales, à une époque où les frontières sont plus que jamais ouvertes grâce au numérique.
Donner envie aux jeunes d’être acteurs
L’un des objectifs de cette saison est clair : encourager la participation active de la jeunesse. Ateliers d’écriture, masterclasses de danse, sessions de graffiti ou de street-art, formations au numérique… autant de formats qui ne se contentent pas de montrer mais qui incitent à agir.
Le slogan « Ici et maintenant » traduit parfaitement cette intention : la culture n’est pas un luxe pour demain, elle est une expérience immédiate, accessible, et chacun peut y prendre part.
Le slogan « Ici et maintenant » traduit parfaitement cette intention : la culture n’est pas un luxe pour demain, elle est une expérience immédiate, accessible, et chacun peut y prendre part.
Une saison en résonance avec le Maroc d’aujourd’hui
Au-delà des spectacles et des concerts, « J-Lioum » illustre une réalité plus large : la jeunesse est aujourd’hui la force vive du Maroc. Elle représente la majorité de la population et incarne les aspirations d’un pays en pleine mutation.
Cette saison culturelle fait écho à des transformations plus profondes : montée de la culture urbaine, explosion du digital, revendications sociales, ouverture sur le monde. En plaçant les jeunes au centre, l’Institut français du Maroc ne fait pas que programmer des événements, il met en lumière une nouvelle identité marocaine en construction, faite de fierté locale et de curiosité internationale.
Cette saison culturelle fait écho à des transformations plus profondes : montée de la culture urbaine, explosion du digital, revendications sociales, ouverture sur le monde. En plaçant les jeunes au centre, l’Institut français du Maroc ne fait pas que programmer des événements, il met en lumière une nouvelle identité marocaine en construction, faite de fierté locale et de curiosité internationale.
« J-Lioum : Ici et maintenant » n’est pas seulement une saison culturelle, c’est un manifeste.
Celui d’une jeunesse marocaine qui veut être écoutée, qui cherche à s’exprimer dans ses propres langages, et qui aspire à un rôle central dans l’avenir du pays.
À travers une programmation riche, diversifiée et inclusive, l’Institut français du Maroc propose plus qu’un agenda culturel : un espace de dialogue et de création. Pour les jeunes, c’est une invitation à oser, à expérimenter, à participer. Pour le Maroc, c’est une occasion de regarder sa jeunesse non pas comme un défi, mais comme une chance.
À travers une programmation riche, diversifiée et inclusive, l’Institut français du Maroc propose plus qu’un agenda culturel : un espace de dialogue et de création. Pour les jeunes, c’est une invitation à oser, à expérimenter, à participer. Pour le Maroc, c’est une occasion de regarder sa jeunesse non pas comme un défi, mais comme une chance.












L'accueil

















