La représentation a attiré un public composé de nombreux cadres de l’institution, dont le Dr. Tarik Arrah, vice-directeur de l’ISADAC, plusieurs professeurs, artistes, chercheurs ainsi qu’un grand nombre d’étudiants issus de différentes filières et promotions.
La pièce a conquis la salle par la justesse de son interprétation, la finesse de son jeu scénique et la maîtrise des expressions corporelles. Le metteur en scène a su mettre en valeur le potentiel de ses comédiens et comédiennes, en créant une harmonie artistique et une cohérence expressive entre les rôles, tout en insistant sur l’importance de la concentration et de l’immersion dans les personnages.
« L’Amour Pieds Nus » aborde, dans ses moments les plus intenses, la question du l’amour à sens unique, traité avec une touche d’ironie et parfois de folie, face à l’indifférence nourrie par l’égo de l’autre. Les scènes oscillent entre drame et comédie, jouant avec les émotions et les illusions amoureuses, jusqu’à tourner en dérision la superficialité des sentiments et la vanité de certains attachements.
Le choix du symbole de l’âne sur l’affiche de la pièce n’est pas anodin : il renvoie à une lecture artistique et sociale soulignant que l’amour unilatéral n’est pas toujours compris ni mérité.
À travers des séquences tantôt explicites, tantôt implicites, la pièce explore les dimensions psychologiques et émotionnelles de l’être humain confronté au piège du sentiment amoureux, donnant à l’œuvre une saveur particulière, tant sur le plan de la mise en scène que de l’interprétation et de la construction des personnages.
La pièce a conquis la salle par la justesse de son interprétation, la finesse de son jeu scénique et la maîtrise des expressions corporelles. Le metteur en scène a su mettre en valeur le potentiel de ses comédiens et comédiennes, en créant une harmonie artistique et une cohérence expressive entre les rôles, tout en insistant sur l’importance de la concentration et de l’immersion dans les personnages.
« L’Amour Pieds Nus » aborde, dans ses moments les plus intenses, la question du l’amour à sens unique, traité avec une touche d’ironie et parfois de folie, face à l’indifférence nourrie par l’égo de l’autre. Les scènes oscillent entre drame et comédie, jouant avec les émotions et les illusions amoureuses, jusqu’à tourner en dérision la superficialité des sentiments et la vanité de certains attachements.
Le choix du symbole de l’âne sur l’affiche de la pièce n’est pas anodin : il renvoie à une lecture artistique et sociale soulignant que l’amour unilatéral n’est pas toujours compris ni mérité.
À travers des séquences tantôt explicites, tantôt implicites, la pièce explore les dimensions psychologiques et émotionnelles de l’être humain confronté au piège du sentiment amoureux, donnant à l’œuvre une saveur particulière, tant sur le plan de la mise en scène que de l’interprétation et de la construction des personnages.












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