La riposte pakistanaise en chiffres : 12 morts au Cachemire
L’Inde a lancé mardi une série de frappes ciblées sur neuf sites au Pakistan dans le cadre de l’opération "Sindoor". Islamabad a riposté avec des tirs d’artillerie au Cachemire. Bilan : au moins 38 morts des deux côtés.
Les relations déjà tendues entre l’Inde et le Pakistan ont pris un tournant dramatique ce mardi. Dans une annonce officielle, le gouvernement indien a confirmé avoir frappé neuf "sites terroristes" situés au Pakistan, en représailles à une attaque meurtrière survenue le 22 avril. Ces frappes, menées dans le cadre de l’opération "Sindoor", ont causé la mort de 26 personnes côté pakistanais, selon les autorités locales.
En réponse, Islamabad a ordonné des tirs d’artillerie lourde dans la région disputée du Cachemire, tuant 12 personnes, dont des civils, selon les médias indiens. Cette escalade militaire est l’une des plus graves depuis plusieurs années entre les deux puissances nucléaires.
Les tensions entre l’Inde et le Pakistan, qui se disputent la région du Cachemire depuis des décennies, sont montées d’un cran après une attaque meurtrière sur une base militaire indienne le 22 avril dernier. New Delhi accuse des groupes terroristes basés au Pakistan d’être responsables de cette attaque, et considère que les frappes de mardi sont une "légitime défense".
De son côté, Islamabad rejette ces accusations et dénonce une violation flagrante de sa souveraineté. Les deux pays, tous deux dotés de l’arme nucléaire, ont régulièrement connu des affrontements sur la ligne de contrôle au Cachemire, mais cette escalade pourrait avoir des conséquences régionales dramatiques.
Pour les observateurs internationaux, cette montée des tensions est préoccupante. Une guerre ouverte entre ces deux voisins aurait des répercussions majeures sur la stabilité de l’Asie du Sud, une région stratégique pour l’économie mondiale.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Le Premier ministre indien Narendra Modi a déclaré que ces frappes étaient "nécessaires pour protéger la souveraineté de l’Inde". À Islamabad, le Premier ministre pakistanais a dénoncé une "provocation dangereuse" et a appelé la communauté internationale à intervenir pour éviter une escalade.
Sur les réseaux sociaux, les hashtags #IndiaStrikes et #PakistanUnderAttack sont devenus viraux, reflétant l’effervescence des opinions publiques des deux côtés. Les internautes indiens ont largement soutenu l’opération, tandis que les Pakistanais appellent à une riposte ferme.
Les grandes puissances, comme les États-Unis et la Chine, ont exprimé leur inquiétude et appellent à la retenue. L’ONU a également demandé aux deux pays de privilégier le dialogue pour désamorcer la crise.
Alors que les tensions continuent de monter, la question reste ouverte : l’Inde et le Pakistan peuvent-ils éviter une guerre ouverte ? L’avenir de la région dépendra de la capacité des deux pays à calmer le jeu et à revenir à la table des négociations. En attendant, le monde retient son souffle.
Les relations déjà tendues entre l’Inde et le Pakistan ont pris un tournant dramatique ce mardi. Dans une annonce officielle, le gouvernement indien a confirmé avoir frappé neuf "sites terroristes" situés au Pakistan, en représailles à une attaque meurtrière survenue le 22 avril. Ces frappes, menées dans le cadre de l’opération "Sindoor", ont causé la mort de 26 personnes côté pakistanais, selon les autorités locales.
En réponse, Islamabad a ordonné des tirs d’artillerie lourde dans la région disputée du Cachemire, tuant 12 personnes, dont des civils, selon les médias indiens. Cette escalade militaire est l’une des plus graves depuis plusieurs années entre les deux puissances nucléaires.
Les tensions entre l’Inde et le Pakistan, qui se disputent la région du Cachemire depuis des décennies, sont montées d’un cran après une attaque meurtrière sur une base militaire indienne le 22 avril dernier. New Delhi accuse des groupes terroristes basés au Pakistan d’être responsables de cette attaque, et considère que les frappes de mardi sont une "légitime défense".
De son côté, Islamabad rejette ces accusations et dénonce une violation flagrante de sa souveraineté. Les deux pays, tous deux dotés de l’arme nucléaire, ont régulièrement connu des affrontements sur la ligne de contrôle au Cachemire, mais cette escalade pourrait avoir des conséquences régionales dramatiques.
Pour les observateurs internationaux, cette montée des tensions est préoccupante. Une guerre ouverte entre ces deux voisins aurait des répercussions majeures sur la stabilité de l’Asie du Sud, une région stratégique pour l’économie mondiale.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Le Premier ministre indien Narendra Modi a déclaré que ces frappes étaient "nécessaires pour protéger la souveraineté de l’Inde". À Islamabad, le Premier ministre pakistanais a dénoncé une "provocation dangereuse" et a appelé la communauté internationale à intervenir pour éviter une escalade.
Sur les réseaux sociaux, les hashtags #IndiaStrikes et #PakistanUnderAttack sont devenus viraux, reflétant l’effervescence des opinions publiques des deux côtés. Les internautes indiens ont largement soutenu l’opération, tandis que les Pakistanais appellent à une riposte ferme.
Les grandes puissances, comme les États-Unis et la Chine, ont exprimé leur inquiétude et appellent à la retenue. L’ONU a également demandé aux deux pays de privilégier le dialogue pour désamorcer la crise.
Alors que les tensions continuent de monter, la question reste ouverte : l’Inde et le Pakistan peuvent-ils éviter une guerre ouverte ? L’avenir de la région dépendra de la capacité des deux pays à calmer le jeu et à revenir à la table des négociations. En attendant, le monde retient son souffle.












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