Dans un communiqué, La Liga a demandé une intervention judiciaire urgente au nom de l’équité sportive, estimant que la décision du Conseil Supérieur des Sports (CSD) enfreint les règles de contrôle économique en vigueur dans le championnat espagnol. L’institution a également fait appel de cette décision, rendue le 3 avril, en faveur du FC Barcelone.
Le CSD, la plus haute autorité du sport en Espagne, avait rendu une décision favorable au Barça dans le conflit l'opposant à La Liga et à la Fédération espagnole de football, jugeant "nulle et non avenue" l’annulation des licences de Dani Olmo et Pau Víctor, révoquées en raison de garanties financières insuffisantes. Le CSD a ainsi autorisé leur réintégration jusqu’à la fin de la saison.
La Liga, en désaccord avec cette décision, estime qu’elle n’est pas conforme à la législation en vigueur. Elle rappelle que les licences des deux joueurs, accordées temporairement en début de saison pour remplacer le défenseur danois Andreas Christensen blessé, ont expiré automatiquement, faute de respect des exigences du fair-play financier.
Le FC Barcelone avait cru régulariser sa situation financière en janvier en annonçant un accord de 100 millions d’euros sur 20 ans avec des entreprises étrangères, portant sur l’exploitation de loges VIP au Camp Nou, en rénovation. Cependant, La Liga conteste la validité de cette opération, soulignant qu’aucun montant de cet accord ne figure dans les comptes de pertes et profits, contrairement à ce qui avait été certifié par le club et son commissaire aux comptes.
Dans l’attente d’un arbitrage définitif, le CSD avait provisoirement permis à Dani Olmo et Pau Víctor de rejouer sous les couleurs du FC Barcelone depuis janvier.
Le CSD, la plus haute autorité du sport en Espagne, avait rendu une décision favorable au Barça dans le conflit l'opposant à La Liga et à la Fédération espagnole de football, jugeant "nulle et non avenue" l’annulation des licences de Dani Olmo et Pau Víctor, révoquées en raison de garanties financières insuffisantes. Le CSD a ainsi autorisé leur réintégration jusqu’à la fin de la saison.
La Liga, en désaccord avec cette décision, estime qu’elle n’est pas conforme à la législation en vigueur. Elle rappelle que les licences des deux joueurs, accordées temporairement en début de saison pour remplacer le défenseur danois Andreas Christensen blessé, ont expiré automatiquement, faute de respect des exigences du fair-play financier.
Le FC Barcelone avait cru régulariser sa situation financière en janvier en annonçant un accord de 100 millions d’euros sur 20 ans avec des entreprises étrangères, portant sur l’exploitation de loges VIP au Camp Nou, en rénovation. Cependant, La Liga conteste la validité de cette opération, soulignant qu’aucun montant de cet accord ne figure dans les comptes de pertes et profits, contrairement à ce qui avait été certifié par le club et son commissaire aux comptes.
Dans l’attente d’un arbitrage définitif, le CSD avait provisoirement permis à Dani Olmo et Pau Víctor de rejouer sous les couleurs du FC Barcelone depuis janvier.