Investissements & Innovations au Maroc pour un futur durable :
La cérémonie de lancement, présidée par Aziz Akhannouch, a également vu la participation de figures clés telles que Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce, et Katrin Adt, Directrice générale de Dacia. François Provost a déclaré : « Ce déplacement au Maroc est hautement symbolique. Il s’inscrit dans une trajectoire entamée dès 2021 et confirme le rôle central du Royaume dans notre stratégie industrielle mondiale. » Ces engagements incluent le renouvellement des gammes Dacia, avec des modèles emblématiques comme le Sandero, Logan et Jogger, ainsi que l'introduction de nouvelles versions électrifiées. Le Sandero Stepway, par exemple, bénéficiera d’un moteur hybride dont le lancement est prévu pour le quatrième trimestre 2026 en Europe.
Renault Group Maroc s'engage à développer un nouveau hub industriel, qui accueillera une gamme Dacia électrifiée d'ici 2030. Ce virage vers l'électrification s'accompagnera d'une amélioration des infrastructures et d'un renforcement des compétences des équipes locales. François Provost a souligné : « Le Maroc est un partenaire agile, compétitif et fiable. Nous avons confiance dans la performance et la flexibilité de sa base industrielle. »
Lors de sa visite à l’usine de Tanger, il a salué les performances des sites de production, qui ambitionnent d’atteindre une production cumulée de 400 000 véhicules d’ici fin 2025, représentant près de 18 % du volume mondial de Renault. Avec une part de marché local de 40 %, le Maroc est désormais le 8ème marché mondial de Renault en volume de vente. Le taux d’intégration locale atteint actuellement 65,5 % (hors mécanique) et devrait dépasser les 80 % d’ici 2030. À ce jour, le groupe compte 87 fournisseurs de rang 1, et ce chiffre devrait continuer à croître.
L'un des développements marquants de cette visite est la création de Renault Technologie Maroc (RTMA), un centre d’ingénierie et de recherche et développement basé à Tétouan Offshore et à Tanger. Ce centre, piloté par des équipes marocaines, intégrera 20 nouvelles technologies dans les années à venir, avec pour objectif d’atteindre un taux de localisation de 91 %. Il mettra également l'accent sur la recherche dans des domaines clés tels que l'intelligence artificielle, l’électronique embarquée, les batteries et le recyclage.
Depuis 2011, Renault a investi plus de 3 millions d’heures de formation, dont un tiers est consacré à l’écosystème local. Un partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur a même conduit à la création d’un master en ingénierie automobile pour anticiper les besoins futurs en compétences. Le centre RTMA, associé aux différents projets annoncés, devrait permettre la création d’environ 7 500 emplois directs et indirects d’ici 2030.
François Provost a également souligné les atouts du Maroc en matière d’énergie décarbonée, un avantage crucial pour accompagner la transition vers une mobilité plus propre. Il a plaidé pour une approche « réaliste et adaptée » à l’électrification, affirmant qu’une transition trop rapide pourrait rendre les véhicules inaccessibles. « L’hybride reste aujourd’hui une solution moderne, efficace et réaliste pour accompagner la transition », a-t-il ajouté.
Ainsi, Renault confirme sa confiance dans le modèle industriel marocain et son ambition d’établir le Royaume comme un acteur incontournable de la transformation automobile mondiale. Ce partenariat stratégique s'inscrit dans une dynamique de croissance qui pourrait redéfinir le paysage industriel du Maroc dans les années à venir.
Renault Group Maroc s'engage à développer un nouveau hub industriel, qui accueillera une gamme Dacia électrifiée d'ici 2030. Ce virage vers l'électrification s'accompagnera d'une amélioration des infrastructures et d'un renforcement des compétences des équipes locales. François Provost a souligné : « Le Maroc est un partenaire agile, compétitif et fiable. Nous avons confiance dans la performance et la flexibilité de sa base industrielle. »
Lors de sa visite à l’usine de Tanger, il a salué les performances des sites de production, qui ambitionnent d’atteindre une production cumulée de 400 000 véhicules d’ici fin 2025, représentant près de 18 % du volume mondial de Renault. Avec une part de marché local de 40 %, le Maroc est désormais le 8ème marché mondial de Renault en volume de vente. Le taux d’intégration locale atteint actuellement 65,5 % (hors mécanique) et devrait dépasser les 80 % d’ici 2030. À ce jour, le groupe compte 87 fournisseurs de rang 1, et ce chiffre devrait continuer à croître.
L'un des développements marquants de cette visite est la création de Renault Technologie Maroc (RTMA), un centre d’ingénierie et de recherche et développement basé à Tétouan Offshore et à Tanger. Ce centre, piloté par des équipes marocaines, intégrera 20 nouvelles technologies dans les années à venir, avec pour objectif d’atteindre un taux de localisation de 91 %. Il mettra également l'accent sur la recherche dans des domaines clés tels que l'intelligence artificielle, l’électronique embarquée, les batteries et le recyclage.
Depuis 2011, Renault a investi plus de 3 millions d’heures de formation, dont un tiers est consacré à l’écosystème local. Un partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur a même conduit à la création d’un master en ingénierie automobile pour anticiper les besoins futurs en compétences. Le centre RTMA, associé aux différents projets annoncés, devrait permettre la création d’environ 7 500 emplois directs et indirects d’ici 2030.
François Provost a également souligné les atouts du Maroc en matière d’énergie décarbonée, un avantage crucial pour accompagner la transition vers une mobilité plus propre. Il a plaidé pour une approche « réaliste et adaptée » à l’électrification, affirmant qu’une transition trop rapide pourrait rendre les véhicules inaccessibles. « L’hybride reste aujourd’hui une solution moderne, efficace et réaliste pour accompagner la transition », a-t-il ajouté.
Ainsi, Renault confirme sa confiance dans le modèle industriel marocain et son ambition d’établir le Royaume comme un acteur incontournable de la transformation automobile mondiale. Ce partenariat stratégique s'inscrit dans une dynamique de croissance qui pourrait redéfinir le paysage industriel du Maroc dans les années à venir.












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