Visa Maroc dévoile sa nouvelle stratégie basée sur l’intelligence artificielle et la digitalisation. Objectif ? Une révolution des paiements pour plus de sécurité et d’inclusion financière.

Visa Maroc a annoncé un tournant majeur dans sa stratégie : s’appuyer sur l’intelligence artificielle (IA) et les technologies digitales pour transformer les paiements au Maroc. L’idée est simple mais ambitieuse : rendre les transactions électroniques plus rapides, plus sûres et accessibles à tous.

Concrètement, cela passe par le déploiement de nouveaux outils basés sur l’IA pour détecter les fraudes en temps réel, mais aussi par la simplification des paiements digitaux. Visa veut également toucher les populations non bancarisées, qui représentent encore une part importante de la société marocaine, en facilitant leur accès aux services financiers via des solutions innovantes.

Au Maroc, où le cash reste encore roi, cette initiative pourrait accélérer l’adoption des paiements numériques. Cela signifie moins de files d’attente dans les banques, plus de sécurité dans les transactions et une meilleure inclusion financière pour les zones rurales et les jeunes entrepreneurs.

Ce projet s’inscrit aussi dans la vision "Maroc Digital 2030", qui vise à faire du Royaume un leader africain de l’innovation technologique. Pour les jeunes Marocains, c’est l’occasion de voir leur quotidien simplifié, qu’il s’agisse de payer un café ou de gérer leur business en ligne.

Sur les réseaux sociaux, les avis sont partagés. Certains saluent cette avancée comme "un pas vers le futur", tandis que d’autres s’interrogent sur la protection des données personnelles.

Côté experts, l’initiative est perçue comme un levier puissant pour booster l’économie marocaine, notamment dans le e-commerce et les startups. "C’est une opportunité pour les jeunes entrepreneurs de s’intégrer dans un écosystème digital dynamique", explique un spécialiste en fintech.

Avec cette stratégie, Visa Maroc ouvre la voie à une transformation profonde des habitudes financières au Maroc. Mais la question reste : les Marocains sont-ils prêts à abandonner le cash pour de bon ? Affaire à suivre…