Chaque été, Assilah se transforme en une toile vivante. Les murs se parent de couleurs, les enfants croisent des artistes venus de Lituanie ou de Tanger, et la ville murmure des poèmes entre deux touches de pinceau. Du 29 juin au 6 juillet, la 46e édition du Moussem culturel international d’Assilah revient pour sa session estivale. Et cette année encore, la Fondation du Forum d’Assilah voit les choses en grand, entre ateliers pour petits et grands, expos et musiques du monde.
Un programme qui mêle générations et disciplines
Assilah, ce n’est pas juste la mer, le vent et les ruelles instagrammables. C’est aussi un musée à ciel ouvert. Depuis 1978, le célèbre atelier de peinture murale fait vibrer les façades de la médina. Cette année, 17 artistes venus de France, d’Espagne, de Syrie ou encore du Maroc y participeront. Chacun posera sa touche, son style, sa vision du monde.
Et pendant que les grands manient l’acrylique, les petits, eux, découvrent les joies de l’écriture et de la couleur grâce aux ateliers d’expression littéraire et de peinture murale pour enfants. Le mot d’ordre ? Créer, sans filtre ni jugement.
Mais l’art ne s’arrête pas aux pinceaux. Théâtre, développement personnel, éducation musicale… Des ateliers s’enchaînent pour les jeunes, les mamans, et tous ceux qui ont envie de sortir un peu du cadre.
Voir, ressentir… ou juste se laisser embarquer
Au-delà de l’esthétique, c’est tout un état d’esprit que défend le Moussem : celui du partage, du vivre-ensemble, de la curiosité joyeuse. À l’heure où la culture se digitalise à fond, Assilah continue de faire l’éloge du temps lent, du regard qui s’attarde, du geste transmis.
Alors, faut-il y aller ? Clairement oui. Pour s’évader sans quitter le royaume, pour redécouvrir une ville qui conjugue tradition et création, pour écouter les murs qui parlent toutes les langues. Et parce qu’au fond, un été marocain sans un passage par Assilah… c’est comme un couscous sans tfaya : ça manque de couleur.
Un programme qui mêle générations et disciplines
Assilah, ce n’est pas juste la mer, le vent et les ruelles instagrammables. C’est aussi un musée à ciel ouvert. Depuis 1978, le célèbre atelier de peinture murale fait vibrer les façades de la médina. Cette année, 17 artistes venus de France, d’Espagne, de Syrie ou encore du Maroc y participeront. Chacun posera sa touche, son style, sa vision du monde.
Et pendant que les grands manient l’acrylique, les petits, eux, découvrent les joies de l’écriture et de la couleur grâce aux ateliers d’expression littéraire et de peinture murale pour enfants. Le mot d’ordre ? Créer, sans filtre ni jugement.
Mais l’art ne s’arrête pas aux pinceaux. Théâtre, développement personnel, éducation musicale… Des ateliers s’enchaînent pour les jeunes, les mamans, et tous ceux qui ont envie de sortir un peu du cadre.
Voir, ressentir… ou juste se laisser embarquer
Au-delà de l’esthétique, c’est tout un état d’esprit que défend le Moussem : celui du partage, du vivre-ensemble, de la curiosité joyeuse. À l’heure où la culture se digitalise à fond, Assilah continue de faire l’éloge du temps lent, du regard qui s’attarde, du geste transmis.
Alors, faut-il y aller ? Clairement oui. Pour s’évader sans quitter le royaume, pour redécouvrir une ville qui conjugue tradition et création, pour écouter les murs qui parlent toutes les langues. Et parce qu’au fond, un été marocain sans un passage par Assilah… c’est comme un couscous sans tfaya : ça manque de couleur.












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