Actuellement lié au club madrilène jusqu’à l’été 2027, Diaz voit la direction du Real refuser d’attendre les dernières années de son contrat, consciente de la valeur sportive et marketing croissante du joueur, aussi bien en Espagne qu’à l’international.
D’après la radio espagnole Cadena SER, des sources proches du milieu offensif assurent qu’un accord de principe aurait déjà été trouvé pour une prolongation jusqu’en 2030. Le Real Madrid aurait néanmoins exigé une discrétion totale jusqu’à la signature officielle, une condition respectée par l’entourage du joueur.
En interne, le club affirme que le nouveau contrat n’a pas encore été paraphé, même si les négociations se seraient déroulées rapidement et sans tension particulière. Le principal point d’interrogation demeure ce délai dans la finalisation, alors que des propositions concrètes continuent d’arriver, en provenance d’Europe comme d’Arabie saoudite.
Sur le plan sportif, Brahim Diaz souhaite obtenir davantage de temps de jeu et un rôle plus central dans le projet madrilène, fort des bonnes prestations livrées à chacune de ses apparitions. Une ambition légitime, au regard de son rendement.
La situation du joueur s’inscrit toutefois dans un contexte technique délicat. Longtemps utilisé comme joker par Carlo Ancelotti, son statut n’a pas fondamentalement évolué cette saison sous la direction de Xabi Alonso. Toutes compétitions confondues, Diaz a disputé 18 matchs, inscrit un but et délivré deux passes décisives, mais n’a été titularisé qu’à sept reprises, pour un total de 484 minutes de jeu, soit une moyenne d’environ 27 minutes par rencontre.
Malgré ce temps de jeu limité en club, le milieu offensif marocain a vu sa cote grimper sur la scène continentale et internationale grâce à ses prestations remarquées avec la sélection marocaine, notamment lors de la Coupe d’Afrique des nations organisée au Maroc, où il a apporté une réelle plus-value au jeu des Lions de l’Atlas.
D’après la radio espagnole Cadena SER, des sources proches du milieu offensif assurent qu’un accord de principe aurait déjà été trouvé pour une prolongation jusqu’en 2030. Le Real Madrid aurait néanmoins exigé une discrétion totale jusqu’à la signature officielle, une condition respectée par l’entourage du joueur.
En interne, le club affirme que le nouveau contrat n’a pas encore été paraphé, même si les négociations se seraient déroulées rapidement et sans tension particulière. Le principal point d’interrogation demeure ce délai dans la finalisation, alors que des propositions concrètes continuent d’arriver, en provenance d’Europe comme d’Arabie saoudite.
Sur le plan sportif, Brahim Diaz souhaite obtenir davantage de temps de jeu et un rôle plus central dans le projet madrilène, fort des bonnes prestations livrées à chacune de ses apparitions. Une ambition légitime, au regard de son rendement.
La situation du joueur s’inscrit toutefois dans un contexte technique délicat. Longtemps utilisé comme joker par Carlo Ancelotti, son statut n’a pas fondamentalement évolué cette saison sous la direction de Xabi Alonso. Toutes compétitions confondues, Diaz a disputé 18 matchs, inscrit un but et délivré deux passes décisives, mais n’a été titularisé qu’à sept reprises, pour un total de 484 minutes de jeu, soit une moyenne d’environ 27 minutes par rencontre.
Malgré ce temps de jeu limité en club, le milieu offensif marocain a vu sa cote grimper sur la scène continentale et internationale grâce à ses prestations remarquées avec la sélection marocaine, notamment lors de la Coupe d’Afrique des nations organisée au Maroc, où il a apporté une réelle plus-value au jeu des Lions de l’Atlas.












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