L’Algérie modifie le logo officiel de la CAN : la polémique enfle
Ce qui aurait pu passer pour une simple “erreur graphique” révèle en fait une gêne bien plus profonde. En effaçant le nom du Maroc du logo officiel de la Coupe d’Afrique des Nations sur ses plateformes digitales, la Fédération algérienne de football ne s’est pas contentée d’une provocation gratuite. Elle a posé un geste lourd de sens, qui en dit long sur la façon dont certains acteurs du football africain – et au-delà, du monde politique – envisagent l’unité du continent.
On le sait : le football, au Maghreb, n’est jamais qu’une affaire de ballon rond. Il est le reflet de nos passions, de nos fiertés, mais aussi de nos blessures. Ce logo “tronqué”, c’est une tentative de réécrire la carte, d’effacer symboliquement un voisin qui dérange. Un geste enfantin ? Peut-être. Mais surtout révélateur d’une crispation qui dépasse largement les frontières du stade.
Au Maroc, ce genre de provocation ne surprend plus. Mais il blesse. Car il touche à l’essentiel : la reconnaissance, la place du pays dans la famille africaine. Il réactive un sentiment d’injustice, celui d’être constamment la cible d’un voisin qui préfère la confrontation à la coopération. Et ce, alors même que le Maroc n’a cessé, ces dernières années, de défendre une vision d’une Afrique forte, solidaire, tournée vers l’avenir.
On peut saluer la réaction rapide de la CAF, qui a rappelé à l’ordre la Fédération algérienne. Mais au fond, pourquoi faut-il en arriver là ? Pourquoi, en 2025, doit-on encore rappeler à certains que l’esprit du sport, c’est l’inclusion, le respect, la fraternité ? Le football africain mérite mieux que ces querelles d’un autre temps. Il mérite des dirigeants qui regardent loin, pas des petits arrangements de couloir ou des manipulations d’images.
Pour les Marocains, cette affaire est un rappel : notre place en Afrique n’est jamais acquise. Elle se construit chaque jour, par notre sérieux, notre engagement, notre ouverture. Face aux tentatives d’effacement ou de marginalisation, il faut répondre par l’exemplarité et la confiance. Prouver, sur le terrain comme dans les institutions, que le Maroc est et restera un acteur central du continent.
Au fond, cette histoire de logo est triste. Elle montre que certains n’ont pas compris que l’Afrique ne se construit pas contre, mais avec. Que la grandeur d’une nation ne se mesure pas à sa capacité à effacer l’autre, mais à sa faculté à rassembler. Le Maroc l’a compris. À nos voisins de le réaliser, avant que le football africain ne devienne le théâtre de toutes les petites mesquineries, au détriment du rêve collectif.
Et si, pour une fois, on jouait vraiment collectif ?
On le sait : le football, au Maghreb, n’est jamais qu’une affaire de ballon rond. Il est le reflet de nos passions, de nos fiertés, mais aussi de nos blessures. Ce logo “tronqué”, c’est une tentative de réécrire la carte, d’effacer symboliquement un voisin qui dérange. Un geste enfantin ? Peut-être. Mais surtout révélateur d’une crispation qui dépasse largement les frontières du stade.
Au Maroc, ce genre de provocation ne surprend plus. Mais il blesse. Car il touche à l’essentiel : la reconnaissance, la place du pays dans la famille africaine. Il réactive un sentiment d’injustice, celui d’être constamment la cible d’un voisin qui préfère la confrontation à la coopération. Et ce, alors même que le Maroc n’a cessé, ces dernières années, de défendre une vision d’une Afrique forte, solidaire, tournée vers l’avenir.
On peut saluer la réaction rapide de la CAF, qui a rappelé à l’ordre la Fédération algérienne. Mais au fond, pourquoi faut-il en arriver là ? Pourquoi, en 2025, doit-on encore rappeler à certains que l’esprit du sport, c’est l’inclusion, le respect, la fraternité ? Le football africain mérite mieux que ces querelles d’un autre temps. Il mérite des dirigeants qui regardent loin, pas des petits arrangements de couloir ou des manipulations d’images.
Pour les Marocains, cette affaire est un rappel : notre place en Afrique n’est jamais acquise. Elle se construit chaque jour, par notre sérieux, notre engagement, notre ouverture. Face aux tentatives d’effacement ou de marginalisation, il faut répondre par l’exemplarité et la confiance. Prouver, sur le terrain comme dans les institutions, que le Maroc est et restera un acteur central du continent.
Au fond, cette histoire de logo est triste. Elle montre que certains n’ont pas compris que l’Afrique ne se construit pas contre, mais avec. Que la grandeur d’une nation ne se mesure pas à sa capacité à effacer l’autre, mais à sa faculté à rassembler. Le Maroc l’a compris. À nos voisins de le réaliser, avant que le football africain ne devienne le théâtre de toutes les petites mesquineries, au détriment du rêve collectif.
Et si, pour une fois, on jouait vraiment collectif ?