Dans un climat de ferveur patriotique, le peuple marocain, aux côtés de la famille de la Résistance et de l’Armée de libération, rend hommage à cette épopée gravée dans la mémoire collective. Cet épisode reste l’expression la plus éloquente de la lutte pour la liberté, l’indépendance et l’unité nationale, portée par l’attachement indéfectible au Trône Alaouite.
Le 20 août 1953, les autorités coloniales croyaient pouvoir briser l’élan national en exilant Feu SM Mohammed V, figure emblématique de la libération. Loin d’étouffer la lutte, cette décision injuste a provoqué une mobilisation populaire sans précédent. De toutes les régions du Royaume, les Marocains se sont levés pour défendre leur souverain, exiger son retour et affirmer la souveraineté de leur pays.
Cette Révolution s’inscrit dans la continuité d’un long combat, entamé bien avant l’exil du Souverain. Les batailles d’Elhri en 1914, d’Anoual entre 1921 et 1926, de Bougafer et de Jbel Baddou en 1933, ainsi que la résistance face au Dahir berbère en 1930, témoignent de cette détermination. Ce mouvement nationaliste culmina avec la présentation du « Manifeste de l’Indépendance » le 11 janvier 1944, puis trouva un écho international lors du discours historique de Mohammed V à Tanger, le 9 avril 1947, appel clair à l’indépendance et à l’unité du pays.
Le coup de force colonial du 20 août 1953 ne fit qu’accélérer la marche de l’histoire. À partir du 1ᵉʳ octobre 1955, une vaste insurrection embrasa le nord du Maroc, contraignant la puissance coloniale à libérer Mohammed V. Le retour triomphal du Souverain, le 16 novembre de la même année, annonça la victoire : l’indépendance et la liberté. C’était aussi le point de départ d’un nouveau « jihad », non plus militaire mais économique et social, visant à bâtir un Maroc moderne et souverain.
Ce processus de libération se prolongea avec la récupération de Tarfaya en 1958, puis de Sidi Ifni en 1969. L’épopée connut son apogée avec la Marche Verte, orchestrée par Feu SM Hassan II en 1975, qui permit le départ des derniers soldats étrangers du Sahara marocain le 28 février 1976, et la récupération d’Oued Eddahab en 1979. Cette victoire fut rendue possible par l’unité indestructible entre le Trône et le peuple.
Aujourd’hui, la famille de la Résistance réaffirme son indéfectible fidélité à SM le Roi Mohammed VI dans la défense de l’intégrité territoriale, non négociable et non sujette à concessions. Dans cette continuité, elle appuie l’initiative d’autonomie élargie proposée par le Royaume pour ses provinces du Sud, solution réaliste et fédératrice sous la souveraineté marocaine.
La Révolution du Roi et du Peuple demeure vivante dans la conscience nationale. Elle incarne un héritage immatériel fait de patriotisme, de fierté, de sacrifices et de victoire de la volonté commune. Plus qu’un souvenir, elle reste un socle de cohésion et de force pour affronter les défis du présent et dessiner les horizons d’un Maroc uni et tourné vers l’avenir.
Le 20 août 1953, les autorités coloniales croyaient pouvoir briser l’élan national en exilant Feu SM Mohammed V, figure emblématique de la libération. Loin d’étouffer la lutte, cette décision injuste a provoqué une mobilisation populaire sans précédent. De toutes les régions du Royaume, les Marocains se sont levés pour défendre leur souverain, exiger son retour et affirmer la souveraineté de leur pays.
Cette Révolution s’inscrit dans la continuité d’un long combat, entamé bien avant l’exil du Souverain. Les batailles d’Elhri en 1914, d’Anoual entre 1921 et 1926, de Bougafer et de Jbel Baddou en 1933, ainsi que la résistance face au Dahir berbère en 1930, témoignent de cette détermination. Ce mouvement nationaliste culmina avec la présentation du « Manifeste de l’Indépendance » le 11 janvier 1944, puis trouva un écho international lors du discours historique de Mohammed V à Tanger, le 9 avril 1947, appel clair à l’indépendance et à l’unité du pays.
Le coup de force colonial du 20 août 1953 ne fit qu’accélérer la marche de l’histoire. À partir du 1ᵉʳ octobre 1955, une vaste insurrection embrasa le nord du Maroc, contraignant la puissance coloniale à libérer Mohammed V. Le retour triomphal du Souverain, le 16 novembre de la même année, annonça la victoire : l’indépendance et la liberté. C’était aussi le point de départ d’un nouveau « jihad », non plus militaire mais économique et social, visant à bâtir un Maroc moderne et souverain.
Ce processus de libération se prolongea avec la récupération de Tarfaya en 1958, puis de Sidi Ifni en 1969. L’épopée connut son apogée avec la Marche Verte, orchestrée par Feu SM Hassan II en 1975, qui permit le départ des derniers soldats étrangers du Sahara marocain le 28 février 1976, et la récupération d’Oued Eddahab en 1979. Cette victoire fut rendue possible par l’unité indestructible entre le Trône et le peuple.
Aujourd’hui, la famille de la Résistance réaffirme son indéfectible fidélité à SM le Roi Mohammed VI dans la défense de l’intégrité territoriale, non négociable et non sujette à concessions. Dans cette continuité, elle appuie l’initiative d’autonomie élargie proposée par le Royaume pour ses provinces du Sud, solution réaliste et fédératrice sous la souveraineté marocaine.
La Révolution du Roi et du Peuple demeure vivante dans la conscience nationale. Elle incarne un héritage immatériel fait de patriotisme, de fierté, de sacrifices et de victoire de la volonté commune. Plus qu’un souvenir, elle reste un socle de cohésion et de force pour affronter les défis du présent et dessiner les horizons d’un Maroc uni et tourné vers l’avenir.












L'accueil

















