Un signal diplomatique fort au Conseil de sécurité
Le dossier du Sahara demeure au cœur de l’agenda onusien, avec des évaluations régulières de la MINURSO, la mission des Nations unies chargée de surveiller le cessez-le-feu et d’appuyer le processus politique. Dans un rapport récent soumis au Conseil de sécurité, Antonio Guterres a salué la coopération du Royaume avec la MINURSO, relevant la fluidité des interactions, l’accès octroyé aux équipes et l’appui logistique et sécuritaire. Cette reconnaissance s’inscrit dans un contexte de consolidation des engagements du Maroc, y compris dans des domaines sensibles comme le déminage et la préservation de la liberté de mouvement de la mission.
Le rapport note que la stabilité relative observée dans les zones sous contrôle de la mission a permis la poursuite de ses tâches essentielles, malgré des défis persistants liés aux tensions régionales et aux contraintes sécuritaires au-delà du mur de défense. Les autorités marocaines, selon l’ONU, ont collaboré pour réduire les risques, faciliter les inspections et soutenir les opérations de maintien de la paix. Cette coopération est perçue comme un facteur de crédibilité et d’efficacité pour la MINURSO, mais aussi comme un signal diplomatique adressé aux partenaires internationaux.
Sur le plan politique, le Secrétaire général réaffirme l’importance d’un processus encadré par l’ONU, appelant toutes les parties à s’engager de manière constructive. Les jalons posés par les précédentes résolutions du Conseil de sécurité et les initiatives de l’Envoyé personnel restent la boussole d’un règlement durable. Dans ce cadre, la contribution marocaine à la stabilité et à l’accompagnement de la mission est interprétée comme un élément facilitateur.
Parallèlement, le rapport insiste sur la nécessité de protéger le personnel onusien, de garantir un environnement opérationnel sûr et de poursuivre les efforts de déminage, autant d’actions où la coopération marocaine a été jugée significative. Les observateurs estiment que ces mentions positives confortent la posture de Rabat dans les débats internationaux, tout en rappelant que la recherche d’une solution politique reste la priorité.
Au final, cette appréciation du Secrétaire général apparaît comme un marqueur diplomatique, confirmant la qualité du partenariat entre le Maroc et l’ONU sur le terrain. Reste à traduire ces acquis opérationnels en progrès politiques tangibles, dans un cadre consensuel et durable.
Le rapport note que la stabilité relative observée dans les zones sous contrôle de la mission a permis la poursuite de ses tâches essentielles, malgré des défis persistants liés aux tensions régionales et aux contraintes sécuritaires au-delà du mur de défense. Les autorités marocaines, selon l’ONU, ont collaboré pour réduire les risques, faciliter les inspections et soutenir les opérations de maintien de la paix. Cette coopération est perçue comme un facteur de crédibilité et d’efficacité pour la MINURSO, mais aussi comme un signal diplomatique adressé aux partenaires internationaux.
Sur le plan politique, le Secrétaire général réaffirme l’importance d’un processus encadré par l’ONU, appelant toutes les parties à s’engager de manière constructive. Les jalons posés par les précédentes résolutions du Conseil de sécurité et les initiatives de l’Envoyé personnel restent la boussole d’un règlement durable. Dans ce cadre, la contribution marocaine à la stabilité et à l’accompagnement de la mission est interprétée comme un élément facilitateur.
Parallèlement, le rapport insiste sur la nécessité de protéger le personnel onusien, de garantir un environnement opérationnel sûr et de poursuivre les efforts de déminage, autant d’actions où la coopération marocaine a été jugée significative. Les observateurs estiment que ces mentions positives confortent la posture de Rabat dans les débats internationaux, tout en rappelant que la recherche d’une solution politique reste la priorité.
Au final, cette appréciation du Secrétaire général apparaît comme un marqueur diplomatique, confirmant la qualité du partenariat entre le Maroc et l’ONU sur le terrain. Reste à traduire ces acquis opérationnels en progrès politiques tangibles, dans un cadre consensuel et durable.












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