Aménagement à Rabat: trois consultations architecturales avortées pour les taxis
Ces projets, inscrits dans une logique de modernisation de l’espace public et de fluidification de la mobilité urbaine, visaient à réorganiser les points de prise en charge des voyageurs tout en libérant de l’espace en surface. Leur abandon relance le débat sur les priorités d’aménagement et les modèles de circulation au cœur de Rabat.
Selon les premières indications, ces consultations devaient définir des scénarios architecturaux et techniques combinant requalification paysagère, création de zones piétonnes et insertion de pôles de taxis en sous-sol, afin de réduire l’encombrement et d’améliorer la sécurité des usagers. L’annulation, qui intervient avant le lancement des phases opérationnelles, s’explique par un réexamen des contraintes budgétaires, techniques et d’intégration urbaine, ainsi que par la nécessité de coordonner ces aménagements avec d’autres chantiers structurants de mobilité et d’espace public.
Au-delà de l’impact immédiat sur le calendrier des transformations urbaines, la décision soulève des questions sur la stratégie globale de mobilité à Rabat: articulation avec le réseau de bus et de tramway, hiérarchisation des modes, et place du taxi dans l’écosystème des transports. Des voix plaident pour des solutions de surface plus modulaires et moins coûteuses, telles que des stations mieux signalées, des couloirs de desserte dédiés, ou des aires de rotation temporisées, en attendant une feuille de route unifiée.
RRA n’a pas détaillé de calendrier alternatif, mais indique travailler à des options d’aménagement compatibles avec les impératifs de durabilité, d’accessibilité et de qualité de vie. Les prochains arbitrages devraient préciser les contours d’une nouvelle approche, conciliant exigences de mobilité, contraintes patrimoniales et attentes des riverains.
Selon les premières indications, ces consultations devaient définir des scénarios architecturaux et techniques combinant requalification paysagère, création de zones piétonnes et insertion de pôles de taxis en sous-sol, afin de réduire l’encombrement et d’améliorer la sécurité des usagers. L’annulation, qui intervient avant le lancement des phases opérationnelles, s’explique par un réexamen des contraintes budgétaires, techniques et d’intégration urbaine, ainsi que par la nécessité de coordonner ces aménagements avec d’autres chantiers structurants de mobilité et d’espace public.
Au-delà de l’impact immédiat sur le calendrier des transformations urbaines, la décision soulève des questions sur la stratégie globale de mobilité à Rabat: articulation avec le réseau de bus et de tramway, hiérarchisation des modes, et place du taxi dans l’écosystème des transports. Des voix plaident pour des solutions de surface plus modulaires et moins coûteuses, telles que des stations mieux signalées, des couloirs de desserte dédiés, ou des aires de rotation temporisées, en attendant une feuille de route unifiée.
RRA n’a pas détaillé de calendrier alternatif, mais indique travailler à des options d’aménagement compatibles avec les impératifs de durabilité, d’accessibilité et de qualité de vie. Les prochains arbitrages devraient préciser les contours d’une nouvelle approche, conciliant exigences de mobilité, contraintes patrimoniales et attentes des riverains.












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