Chroniqueur des gestes, des foules et des voix de Marrakech, Mohammed Ben Allal fait l’objet d’un hommage au Musée du patrimoine immatériel Jemâa El‑Fnaa. Ses toiles, véritables archives du quotidien, restituent la vie populaire de la ville ocre et ses imaginaires collectifs, entre places animées, rituels sociaux et mémoire vive.
Un hommage au chroniqueur visuel de la ville ocre: partenaires, dates et portée patrimoniale
Le Musée du patrimoine immatériel Jemâa El‑Fnaa consacre une exposition à Mohammed Ben Allal, artiste marrakchi autodidacte disparu en 1995. Organisée par la Fondation nationale des musées, en collaboration avec le Musée de Bank Al‑Maghrib et le Musée d’art contemporain africain Al Maaden (MACAAL), cette exposition met en lumière une œuvre emblématique de la mémoire visuelle de Marrakech. Intitulée «Mohammed Ben Allal: récits du quotidien», elle se tient jusqu’au 25 mai 2026 et interroge les liens entre création artistique et patrimoine immatériel, présentant l’œuvre de Ben Allal comme une archive sensible des rythmes de vie, des pratiques sociales et des formes de sociabilité qui ont façonné la mémoire urbaine.
Récits du quotidien: scènes, langage pictural et mémoire urbaine au cœur de l’œuvre
Né en 1928 à Marrakech, Ben Allal commence à peindre dès l’âge de 16 ans. Son travail, présent dans de nombreuses collections privées au Maroc, en France et aux États‑Unis, se distingue par son caractère narratif et son ancrage dans le quotidien.
Le parcours proposé dévoile des œuvres où chaque toile fonctionne comme un fragment de mémoire collective. Singulier dans la peinture marocaine contemporaine, l’artiste puise son iconographie dans les scènes courantes: rituels sociaux et familiaux, univers des souks, fêtes populaires, gestes artisanaux et, de façon centrale, la place Jemâa El‑Fnaa, espace de parole, de transmission et de patrimoine vivant. Proche du conte, son langage pictural privilégie l’aplatissement des perspectives, la frontalité des figures et une palette de couleurs vives.
Par la couleur et la narration visuelle, Mohammed Ben Allal n’a cessé de raconter les scènes ancestrales de Marrakech. Comme le souligne le texte de présentation, l’événement magnifie la mémoire de la ville à travers le regard d’un artiste intimement lié à son patrimoine.
Véritable écrin, le Musée du patrimoine immatériel Jemâa El‑Fnaa offre une immersion dans l’univers de Ben Allal et, plus largement, dans l’âme populaire de Marrakech.
Un hommage au chroniqueur visuel de la ville ocre: partenaires, dates et portée patrimoniale
Le Musée du patrimoine immatériel Jemâa El‑Fnaa consacre une exposition à Mohammed Ben Allal, artiste marrakchi autodidacte disparu en 1995. Organisée par la Fondation nationale des musées, en collaboration avec le Musée de Bank Al‑Maghrib et le Musée d’art contemporain africain Al Maaden (MACAAL), cette exposition met en lumière une œuvre emblématique de la mémoire visuelle de Marrakech. Intitulée «Mohammed Ben Allal: récits du quotidien», elle se tient jusqu’au 25 mai 2026 et interroge les liens entre création artistique et patrimoine immatériel, présentant l’œuvre de Ben Allal comme une archive sensible des rythmes de vie, des pratiques sociales et des formes de sociabilité qui ont façonné la mémoire urbaine.
Récits du quotidien: scènes, langage pictural et mémoire urbaine au cœur de l’œuvre
Né en 1928 à Marrakech, Ben Allal commence à peindre dès l’âge de 16 ans. Son travail, présent dans de nombreuses collections privées au Maroc, en France et aux États‑Unis, se distingue par son caractère narratif et son ancrage dans le quotidien.
Le parcours proposé dévoile des œuvres où chaque toile fonctionne comme un fragment de mémoire collective. Singulier dans la peinture marocaine contemporaine, l’artiste puise son iconographie dans les scènes courantes: rituels sociaux et familiaux, univers des souks, fêtes populaires, gestes artisanaux et, de façon centrale, la place Jemâa El‑Fnaa, espace de parole, de transmission et de patrimoine vivant. Proche du conte, son langage pictural privilégie l’aplatissement des perspectives, la frontalité des figures et une palette de couleurs vives.
Par la couleur et la narration visuelle, Mohammed Ben Allal n’a cessé de raconter les scènes ancestrales de Marrakech. Comme le souligne le texte de présentation, l’événement magnifie la mémoire de la ville à travers le regard d’un artiste intimement lié à son patrimoine.
Véritable écrin, le Musée du patrimoine immatériel Jemâa El‑Fnaa offre une immersion dans l’univers de Ben Allal et, plus largement, dans l’âme populaire de Marrakech.












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