Pendant trois jours, 23 jeunes finalistes venus de 23 pays africains avaient défendu leurs projets devant un jury interrégional. Leur défi ? Proposer des solutions concrètes mêlant intelligence artificielle et développement durable. De l'Angola à Madagascar, du Maroc au Bénin, cette jeunesse avait incarné un continent en mouvement, inventif et visionnaire.
Après un coaching intensif et des sessions de pitch, la finale très attendue s'était tenue le 30 mai à la Faculté de médecine de Casablanca. Cinq prix avaient été attribués, dont un "Coup de cœur du jury" et un "Prix du public" à voter en ligne.
"Au-delà de la compétition, MiMe voulait créer des ponts entre universités et écosystèmes d'innovation", avait expliqué l'organisateur. "C'est toute une jeunesse qui s'est levée pour transformer l'Afrique par l'action, la technologie et l'audace entrepreneuriale."
En effet, de plus en plus de campus africains deviennent des pépinières d'innovation, avec la multiplication des incubateurs, clubs étudiants et concours d'idées. Un virage stratégique pour former une jeunesse capable d'innover et de bâtir son propre avenir, face aux défis climatiques, sociaux et technologiques.
Après un coaching intensif et des sessions de pitch, la finale très attendue s'était tenue le 30 mai à la Faculté de médecine de Casablanca. Cinq prix avaient été attribués, dont un "Coup de cœur du jury" et un "Prix du public" à voter en ligne.
"Au-delà de la compétition, MiMe voulait créer des ponts entre universités et écosystèmes d'innovation", avait expliqué l'organisateur. "C'est toute une jeunesse qui s'est levée pour transformer l'Afrique par l'action, la technologie et l'audace entrepreneuriale."
En effet, de plus en plus de campus africains deviennent des pépinières d'innovation, avec la multiplication des incubateurs, clubs étudiants et concours d'idées. Un virage stratégique pour former une jeunesse capable d'innover et de bâtir son propre avenir, face aux défis climatiques, sociaux et technologiques.