Photoshop 26.9: l’offensive IA d’Adobe face à Figma et Canva
Première mise en scène: l’outil Supprimer (object removal) migre au premier plan dans la barre contextuelle. Rien de révolutionnaire sur le principe (inpainting déjà mature), mais Adobe cherche à convertir une action auparavant “experte” en réflexe fluide, promettant vitesse et qualité accrues (sans encore publier de métriques de latence ou de taux d’artefacts).
Deuxième axe: intégration approfondie de Firefly. Au lieu d’un module perçu comme add‑on, le moteur génératif devient une couche de remplissage de calques pilotable, avec sélection de modèles (Firefly Image 1, 3, etc.). Cette granularité laisse entrevoir une future segmentation: modèles spécialisés (photographique, illustratif, produit e‑commerce) et peut‑être tarification différenciée par qualité ou empreinte énergétique. Atout narratif clé face aux critiques sur l’IA générative: Firefly reste présenté comme entraîné sur contenus “licenciés/sécurisés”, rassurant les clients Enterprise sur le risque juridique.
Enfin, Harmonize (ex Project Perfect Blend) en bêta cible la cohérence photométrique et chromatique lors d’incrustations: matching de luminance, tonalités et ambiance, fondamental pour accélérer des composites réalistes sans retouches manuelles par calques d’ajustement.
En arrière-plan, Adobe joue la rétention: augmenter le “stickiness” du workflow interne plutôt que pousser l’utilisateur vers des allers‑retours avec des générateurs externes gratuits. Reste à observer si ces incrustations IA transforment le KPI clé: temps moyen de production d’une variante exploitable.
Deuxième axe: intégration approfondie de Firefly. Au lieu d’un module perçu comme add‑on, le moteur génératif devient une couche de remplissage de calques pilotable, avec sélection de modèles (Firefly Image 1, 3, etc.). Cette granularité laisse entrevoir une future segmentation: modèles spécialisés (photographique, illustratif, produit e‑commerce) et peut‑être tarification différenciée par qualité ou empreinte énergétique. Atout narratif clé face aux critiques sur l’IA générative: Firefly reste présenté comme entraîné sur contenus “licenciés/sécurisés”, rassurant les clients Enterprise sur le risque juridique.
Enfin, Harmonize (ex Project Perfect Blend) en bêta cible la cohérence photométrique et chromatique lors d’incrustations: matching de luminance, tonalités et ambiance, fondamental pour accélérer des composites réalistes sans retouches manuelles par calques d’ajustement.
En arrière-plan, Adobe joue la rétention: augmenter le “stickiness” du workflow interne plutôt que pousser l’utilisateur vers des allers‑retours avec des générateurs externes gratuits. Reste à observer si ces incrustations IA transforment le KPI clé: temps moyen de production d’une variante exploitable.












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