Il est donc inutile de souligner que cette organisation ne voit aucun embarras à continuer à violer les règles régissant le travail de cette organisation humanitaire mondiale, et tourne le dos aux sept principes qui régissent son action dans son affiliation avec le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, en particulier en ce qui concerne la situation des conflits de nature politique.

En termes purement politiques et en termes du conflit factice au Sahara marocain, qui a conduit sa nouvelle dirigeante, qui peine à souligner la crédibilité de ses loyautés politiques, à annoncer le financement de la construction du plus grand hôpital des camps de Rabouni. Elle est même allé bien au-delà en assénant des insultes et des calomnies contre les responsables marocains.

Lorsque la grossièreté des responsables de cette organisation atteint la limite d’essayer d’employer la maladie dans des calculs politiques malveillants, l’intervention de l’Union des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, et celle du Comité international de la Croix-Rouge s’imposent, pour mettre fin à cette rupture très dangereuse qui fait passer les sociétés du Croissant-Rouge de leur noble et bon sol humanitaire au bourbier des calculs politiques souvent pétris de haine.

Source: alalam.ma