Le souvenir du premier cauchemar
C’était en 2024. Un couple, un voyage, une route isolée. La panne semblait anodine… jusqu’à ce qu’on frappe à la porte. « Est-ce que Tamara est là ? » Trois silhouettes masquées.
Une nuit qui vire au cauchemar. Et une seule survivante, Maya le souffle court, le regard vide, les mains tachées de ce qu’elle venait de fuir. Le Chapitre 1 s’était terminé dans un cri. Pas une fin, plutôt une suspension. Comme une menace laissée ouverte, un écho que le public n’avait jamais vraiment oublié.
Une nuit qui vire au cauchemar. Et une seule survivante, Maya le souffle court, le regard vide, les mains tachées de ce qu’elle venait de fuir. Le Chapitre 1 s’était terminé dans un cri. Pas une fin, plutôt une suspension. Comme une menace laissée ouverte, un écho que le public n’avait jamais vraiment oublié.
Chapitre 2 : le retour des ombres
Aujourd'hui, le cauchemar reprend là où il s’était arrêté. Maya n’a pas trouvé la paix. L’hôpital censé la protéger devient un nouveau piège. Les masques, eux, n’ont jamais disparu. Ils rôdent, silencieux, déterminés à finir ce qu’ils ont commencé. Cette fois, le décor s’élargit : la ville, les ruelles, les lieux publics. L’horreur s’invite en plein jour, dans des espaces ouverts. Et c’est ce qui rend ce second chapitre encore plus troublant : il casse la règle du huis clos. Il ne se cache plus. Il vous poursuit.
Pourquoi ce film va marquer les salles marocaines
Parce que l’horreur, la vraie, ce n’est pas seulement ce qu’on voit, c’est ce qu’on ressent ensemble. Dans les cinémas marocains, aujourd'hui, ce n’est pas juste un film qui sort : c’est une expérience partagée. Le noir se fait, un bruit de porte, un souffle coupé, un cri dans le noir… et dans la salle, des dizaines de respirations suspendues.
Les Intrus : Chapitre 2 n’est pas qu’une suite. C’est une renaissance de la peur. Un film qui sait jouer avec nos nerfs, avec nos habitudes, avec cette petite voix qui murmure : “Et si c’était moi ?”
Les Intrus : Chapitre 2 n’est pas qu’une suite. C’est une renaissance de la peur. Un film qui sait jouer avec nos nerfs, avec nos habitudes, avec cette petite voix qui murmure : “Et si c’était moi ?”
Un rendez-vous avec vos propres peurs
Aujourd'hui, dans les cinémas du Maroc, la nuit recommence.
Et si vous pensez être prêts, souvenez-vous : dans Les Intrus, le danger ne frappe jamais deux fois au même endroit… Il attend, juste derrière la porte.
Et si vous pensez être prêts, souvenez-vous : dans Les Intrus, le danger ne frappe jamais deux fois au même endroit… Il attend, juste derrière la porte.












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