Les fonds macro ne parient ni sur des entreprises ni sur la croissance réelle, mais sur les failles de la gouvernance mondiale :
Cette réalité pose une question essentielle, bien au-delà de la finance : qui produit aujourd’hui la stabilité, et qui vit de son absence ?
Face à ce monde durablement imprévisible, le Maroc fait un choix stratégique rare : ne pas monétiser le désordre, mais investir dans la résilience, la prévisibilité et la souveraineté économique.
C’est là que se joue la vraie différence entre spéculation et vision.
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PAR LAHCEN HADDAD/LE360.MA












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