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Par Dr Anwar CHERKAOUI
Arrivée à l’âge de 40 ans, une femme peut elle continuer à utilisé sa contraception habituelle, notamment la pilule, certains anneaux vaginaux ou patchs ?
La pilule contraceptive à base hormonale risque d’accroître le risque de thrombose, à savoir la formation d’un caillot sanguin dans une veine et une artère.
De ce fait, les contraceptifs à base des hormones ( œstrogènes et progestérone) sont déconseillés après l’âge de 35-40 ans.
D’autant plus que cela s’impose si jamais la femme présente des facteurs de risque cardio-vasculaires, comme le surpoids ou le tabagisme sont déconseillés également les anneaux vaginaux et les patchs à base hormonale.
Il faut toujours garder sa vigilance car aujourd’hui, une femme de 35 ans ou de 40 ans peut toujours tomber enceinte. Et c’est le drame de la grossesse non désirée et le risque de l’avortement ou de l’abandon du bébé dès sa naissance.
Par ailleurs, un couple sans contraception a environ 30% de chances de grossesse par an si la femme a entre 40 et 44 ans.
Quelle est alors l’alternative ?
Aujourd’hui, les collèges des gynécologues et obstétriciens dans le monde conseillent pour ses femmes des contraceptifs de longue durée d’action ( stérilet ou implant contraceptif) et les certaines pilules mini dosées, car ne présentent pas de risque cardio-vasculaire.
De même, le stérilet est une option intéressante. Car, une fois bien posé, la femme est tranquille pour cinq ans.
En Europe, selon les estimations des experts, c’est le choix d’environ 35% des femmes après 40 ans.
Et il y a deux possibilités, le stérilet au cuivre, avec un inconvénient, il peut provoquer des règles abondantes et parfois plus douloureuses ou le stérilet hormonal, qui peut causer une diminution voir une abondance des règles et parfois une augmentation de la pilosité.
Une autre possibilité contraceptive, la définitive: la ligature des trompes ( le conduit entre l’ovaire et l’utérus) sous cœlioscopie, qui selon des chiffres Européens, 9 % des femmes âgées de 40 ans et plus y ont recours.
Enfin, on peut avoir recours à la vasectomie, on coupe les canaux qui transportent les spermatozoïdes à partir des testicules, chez le partenaire masculin, car la grossesse ou la contraception sont une affaire de couple.
Enfin, il ne faut jamais se précipiter et prendre toujours un délai de réflexion, afin d’opter de tel ou tel moyen de contraception.
La pilule contraceptive à base hormonale risque d’accroître le risque de thrombose, à savoir la formation d’un caillot sanguin dans une veine et une artère.
De ce fait, les contraceptifs à base des hormones ( œstrogènes et progestérone) sont déconseillés après l’âge de 35-40 ans.
D’autant plus que cela s’impose si jamais la femme présente des facteurs de risque cardio-vasculaires, comme le surpoids ou le tabagisme sont déconseillés également les anneaux vaginaux et les patchs à base hormonale.
Il faut toujours garder sa vigilance car aujourd’hui, une femme de 35 ans ou de 40 ans peut toujours tomber enceinte. Et c’est le drame de la grossesse non désirée et le risque de l’avortement ou de l’abandon du bébé dès sa naissance.
Par ailleurs, un couple sans contraception a environ 30% de chances de grossesse par an si la femme a entre 40 et 44 ans.
Quelle est alors l’alternative ?
Aujourd’hui, les collèges des gynécologues et obstétriciens dans le monde conseillent pour ses femmes des contraceptifs de longue durée d’action ( stérilet ou implant contraceptif) et les certaines pilules mini dosées, car ne présentent pas de risque cardio-vasculaire.
De même, le stérilet est une option intéressante. Car, une fois bien posé, la femme est tranquille pour cinq ans.
En Europe, selon les estimations des experts, c’est le choix d’environ 35% des femmes après 40 ans.
Et il y a deux possibilités, le stérilet au cuivre, avec un inconvénient, il peut provoquer des règles abondantes et parfois plus douloureuses ou le stérilet hormonal, qui peut causer une diminution voir une abondance des règles et parfois une augmentation de la pilosité.
Une autre possibilité contraceptive, la définitive: la ligature des trompes ( le conduit entre l’ovaire et l’utérus) sous cœlioscopie, qui selon des chiffres Européens, 9 % des femmes âgées de 40 ans et plus y ont recours.
Enfin, on peut avoir recours à la vasectomie, on coupe les canaux qui transportent les spermatozoïdes à partir des testicules, chez le partenaire masculin, car la grossesse ou la contraception sont une affaire de couple.
Enfin, il ne faut jamais se précipiter et prendre toujours un délai de réflexion, afin d’opter de tel ou tel moyen de contraception.
Rédigé par Dr Anwar Cherkaoui