Le Féminin Pluriel : Argumentaire de la rencontre du 31 octobre 2024
Dans le cadre des jeudis de la culture, le Féminin Pluriel organise le 31 octobre 2024, une rencontre autour du livre de Mme HasnaaIdrissi Kabbaj : LE REIN DU CŒUR, une histoire vraie, autoédité par l’auteur en 2020.
Ce livre traite de la problématique du don d’organes. Un sujet que les Marocains ont encore du mal à accepter.
En effet, depuis 1999, le don d’organe au Maroc est devenu légal et encouragé par les autorités religieuses.
Mais les Marocains y restent toujoursréticents. Pourquoi hésiter à donner un organe, tel que le rein par exemple, dont l’absence n’altère pas notre vie mais sauve une autre d’une mort certaine ? Pourquoi hésiter à donner des tissus qui peuvent se régénérer ou se renouveler ? Pourquoi refuser de donner ses organes après sa mort alors qu’ils ne deviendront que poussière ?
Le don d’organes ne fait pas partie de notre culture. Si les lois l’autorisent, les mentalités résistent. Ce refus est dû en grande partie au manque d’information et de sensibilisation. Au Maroc, seules deux journées sont dédiées à la transplantation et à la greffe d’organes : la journée mondiale du rein, célébrée le deuxième jeudi du mois de mars, et celle du don d’organes, célébrée le 17 octobre. Cela suffit-il pour informer et inciter au don ?
Le Féminin Pluriel veut contribuer à faire connaître ce sujet par les témoignages de personnes concernées et par l'apport de spécialistes du domaine.
Pour dissiper les craintes, nous recevrons le témoignage de Madame Hasnaa Idrissi, auteur de l'ouvrage que nous présenterons lors de la rencontre du jeudi 31 octobre. Madame Hasnaa Idrissi a donné un rein à son frère. Elle relate son expérience dans son livre. Et comme il n’y a pas de donneur sans receveur, nous écouterons également le témoignage de monsieur Ayoub Bousslam qui nous livrera ses impressions après le don de rein qu’il a reçu.
La peur de l’inconnu est la raison la plus courante de la résistance au changement.
Afin que l’inconnu devienne connu, le Féminin Pluriel invite Dr. Malika Alaoui : pharmacienne, docteur en études islamiques et prédicatrice au Conseil local des Oulémas, et Pr.Hakima RHOU : néphrologue et chef de service de Néphrologie à l’hôpital Cheikh Zaid à Rabat, pour débattre de ce sujet.
Cette rencontre permettra de s’interroger sur les raisons de cette situation de résistance et les moyens qui peuvent permettre de changer cet état de fait.
Le Féminin Pluriel
Ce livre traite de la problématique du don d’organes. Un sujet que les Marocains ont encore du mal à accepter.
En effet, depuis 1999, le don d’organe au Maroc est devenu légal et encouragé par les autorités religieuses.
Mais les Marocains y restent toujoursréticents. Pourquoi hésiter à donner un organe, tel que le rein par exemple, dont l’absence n’altère pas notre vie mais sauve une autre d’une mort certaine ? Pourquoi hésiter à donner des tissus qui peuvent se régénérer ou se renouveler ? Pourquoi refuser de donner ses organes après sa mort alors qu’ils ne deviendront que poussière ?
Le don d’organes ne fait pas partie de notre culture. Si les lois l’autorisent, les mentalités résistent. Ce refus est dû en grande partie au manque d’information et de sensibilisation. Au Maroc, seules deux journées sont dédiées à la transplantation et à la greffe d’organes : la journée mondiale du rein, célébrée le deuxième jeudi du mois de mars, et celle du don d’organes, célébrée le 17 octobre. Cela suffit-il pour informer et inciter au don ?
Le Féminin Pluriel veut contribuer à faire connaître ce sujet par les témoignages de personnes concernées et par l'apport de spécialistes du domaine.
Pour dissiper les craintes, nous recevrons le témoignage de Madame Hasnaa Idrissi, auteur de l'ouvrage que nous présenterons lors de la rencontre du jeudi 31 octobre. Madame Hasnaa Idrissi a donné un rein à son frère. Elle relate son expérience dans son livre. Et comme il n’y a pas de donneur sans receveur, nous écouterons également le témoignage de monsieur Ayoub Bousslam qui nous livrera ses impressions après le don de rein qu’il a reçu.
La peur de l’inconnu est la raison la plus courante de la résistance au changement.
Afin que l’inconnu devienne connu, le Féminin Pluriel invite Dr. Malika Alaoui : pharmacienne, docteur en études islamiques et prédicatrice au Conseil local des Oulémas, et Pr.Hakima RHOU : néphrologue et chef de service de Néphrologie à l’hôpital Cheikh Zaid à Rabat, pour débattre de ce sujet.
Cette rencontre permettra de s’interroger sur les raisons de cette situation de résistance et les moyens qui peuvent permettre de changer cet état de fait.
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