Un hommage sera rendu à la comédienne Fatima Attif ainsi qu’au réalisateur et producteur Ahmed El Maanouni lors de la 25e édition du Festival National du Film de Tanger, prévue du 17 au 25 octobre, placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Diplômée de l’ISADAC (section interprétation), Fatima Attif a débuté sur les scènes de théâtre avant de s’imposer à l’écran sous la direction de grands cinéastes marocains, indiquent les organisateurs. Elle a notamment joué pour Mohamed Zineddaine dans La Guérisseuse (Grand Prix du FNF 2019), pour Faouzi Bensaïdi dans What a Wonderful World et Volubilis, pour Ismaël El Iraki dans Zanka Contact un rôle qui lui a valu le prix du second rôle féminin au FNF 2022, pour Adil El Fadili dans Mon père n’est pas mort (Grand Prix du FNF 2023), et plus récemment pour Laila Marrakchi dans Mass Dolce (2025).
Pionnier du cinéma marocain, Ahmed El Maanouni signe en 1978 son premier long métrage, Alyam Alyam, puis réalise trois ans plus tard Al Hal (Transes), documentaire musical consacré au mythique groupe Nass El Ghiwane. Suivront Les Cœurs brûlés, lauréat du Grand Prix et du Prix de la Critique au Festival National du Film en 2007, puis Fadma, distingué par le Prix de la Réalisation au FNF en 2017. Sa contribution à la culture a également été reconnue par la République française, qui l’a élevé au grade d’Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres, précisent les organisateurs.
Ces hommages expriment la reconnaissance du Festival National du Film pour l’ampleur de leurs œuvres et leur engagement durable au service du cinéma marocain.
Diplômée de l’ISADAC (section interprétation), Fatima Attif a débuté sur les scènes de théâtre avant de s’imposer à l’écran sous la direction de grands cinéastes marocains, indiquent les organisateurs. Elle a notamment joué pour Mohamed Zineddaine dans La Guérisseuse (Grand Prix du FNF 2019), pour Faouzi Bensaïdi dans What a Wonderful World et Volubilis, pour Ismaël El Iraki dans Zanka Contact un rôle qui lui a valu le prix du second rôle féminin au FNF 2022, pour Adil El Fadili dans Mon père n’est pas mort (Grand Prix du FNF 2023), et plus récemment pour Laila Marrakchi dans Mass Dolce (2025).
Pionnier du cinéma marocain, Ahmed El Maanouni signe en 1978 son premier long métrage, Alyam Alyam, puis réalise trois ans plus tard Al Hal (Transes), documentaire musical consacré au mythique groupe Nass El Ghiwane. Suivront Les Cœurs brûlés, lauréat du Grand Prix et du Prix de la Critique au Festival National du Film en 2007, puis Fadma, distingué par le Prix de la Réalisation au FNF en 2017. Sa contribution à la culture a également été reconnue par la République française, qui l’a élevé au grade d’Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres, précisent les organisateurs.
Ces hommages expriment la reconnaissance du Festival National du Film pour l’ampleur de leurs œuvres et leur engagement durable au service du cinéma marocain.












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