Par Said Temsamani
Les thématiques à l’ordre du jour disent tout de cette ambition : concevoir et construire des ouvrages portuaires à la fois robustes et respectueux de leur environnement ; intégrer la nature au cœur des projets plutôt que de la subir ; restaurer, maintenir et prolonger la vie des infrastructures existantes pour réduire l’empreinte écologique.
Mais au-delà de la technique, ce rendez-vous porte une portée symbolique : celle d’une Méditerranée qui ne se limite pas à un bassin géographique, mais qui s’affirme comme un espace de valeurs partagées, de coopération pragmatique et de dialogue entre cultures. Un espace où le patrimoine historique et les écosystèmes marins ne sont pas des contraintes, mais des richesses à protéger pour mieux construire l’avenir.
Tanger, par son histoire et sa position stratégique, incarne cette vocation. En accueillant les Journées Méditerranéennes Internationales de PIANC, la ville affirme que le progrès technique n’a de sens que s’il s’inscrit dans une vision équilibrée : celle d’une mer qui unit au lieu de diviser, qui inspire au lieu d’épuiser, et qui prépare les générations futures à hériter d’un patrimoine maritime à la fois prospère et préservé.












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